Confronté à l’absence de données pour optimiser parcours de soins et distribution de médicaments ou encore pour repérer les pathologies et les profils à risque, le secteur de la santé compte sur l’apport de la technologie. Objectif : trouver des combinaisons gagnantes.
L’universitaire camerounais, l’un des sept émissaires du programme d’aide alimentaire « Grain from Ukraine », estime que Moscou joue un rôle paradoxal dans la fourniture de blés à certains pays du continent.
Avec l’incubateur Sèmè City, le Bénin veut se positionner en champion sous-régional des jeunes pousses. Reste à mobiliser les financements et notamment l’épargne locale. Khaled Igue, qui copréside la French-African Foundation, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre, le géant italien place au cœur de sa stratégie la production de biodiesel et de bioéthanol à partir de déchets. Après avoir scellé des accords avec le Congo-Brazzaville, l’Angola et le Kenya, le groupe de Claudio Descalzi vise le Rwanda et le Bénin.
Malgré les ambitions affichées de réduire leurs émissions de CO2, les majors n’ont pas lancé en Afrique autant de projets dans le solaire, l’éolien ou l’hydrogène que sur les autres continents. ENI et TotalEnergies se mettent toutefois en ordre de marche.
Relance verte, défis communs et coopération accrue… Le premier rendez-vous des patrons francophones a rassemblé un demi-millier de dirigeants à Paris. La rencontre devrait être pérennisée, avec peut-être une prochaine édition en Côte d’Ivoire.
Poussé par l’Union européenne et plusieurs grandes ONG, un projet mondial vise à faire classer 30% des terres de la planète en « aires protégées ». Une démarche environnementale qui, paradoxalement, provoque la colère de nombreux spécialistes. Ils craignent qu’en Afrique cette classification se fasse au détriment des populations locales.
L’allemand GreenTec Capital Partners, co-fondé par l’investisseur d’origine camerounaise, mise sur la finance à impact pour faire décoller les entrepreneurs du continent.
Alors qu’Emmanuel Macron a annoncé la suppression de l’ENA en France, les 17 établissements africains qui suivent son modèle comptent bien lui survivre.
Consommés dans certains pays mais rejetés dans d’autres, les insectes et autres chenilles possèdent des caractéristiques nutritionnelles intéressantes et offrent une réponse séduisante aux contraintes climatiques et agricoles.
De la Tunisie au Mali, à Madagascar et en Namibie, un business novateur émerge en vue de répondre aux besoins de l’agriculture et des populations ; qui permet en prime de lutter contre le réchauffement climatique. Les investisseurs ont déjà bien assimilé les règles du jeu…
« Ces Africaines qui bousculent la science » (3/5). Poussée à l’excellence par des parents exigeants, la jeune agronome béninoise veut remplacer les aliments importés par des produits locaux, et utilise pour cela des technologies de pointe.
« Ces Africaines qui bousculent la science » (2/5). Arrivée à l’astrophysique grâce au développement du plus grand radiotélescope au monde en Afrique du Sud, la chercheuse espère développer sa discipline à Madagascar et inspirer les jeunes femmes de son pays.
« Ces Africaines qui bousculent la science » (1/5). Spécialisée dans l’utilisation des plantes endémiques, cette doctorante camerounaise rêve de développer une alternative aux insecticides chimiques.
Face au Covid-19, les pouvoirs publics ont conduit la riposte. Mais les grandes fortunes du continent ont pris leur part à l’effort collectif, anticipant même parfois les initiatives publiques.
Quelles conséquences le changement climatique aura-t-il sur l’agriculture et l’alimentation en Afrique ? Une étude préconise d’opter pour des productions plus durables, et notamment de limiter la culture du maïs et du riz.
La consommation d’animaux sauvages est pointée du doigt dans le contexte du coronavirus. Malgré un impact sanitaire et environnemental négatif qui n’est plus à démontrer, peu d’États africains songent toutefois à l’interdire.
Avec un modèle de toilettes bon marché et peu gourmand en eau, le conglomérat japonais Lixil s’appuie sur l’objectif de développement durable n° 6 des Nations unies – l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement d’ici 2030 – pour se développer sur le continent.
Concepteur du plus grand théâtre d’Afrique et du monde arabe, à Casablanca, l’architecte le plus réputé du royaume milite pour que sa ville natale soit inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco.
Le groupe français réfléchit à la mise en place de filières complètes en Afrique. Liquéfaction de gaz naturel, production d’électricité, distribution… Dans son viseur : le Maroc et la Côte d’Ivoire.
Brûler le gaz dégagé par l’exploitation de l’or noir pollue et représente un énorme manque à gagner. Si États et compagnies le reconnaissent, ils ne semblent pas prêts à agir dans l’immédiat.
Les établissements privés suscitent l’intérêt des capital-investisseurs. I&P, Africinvest et l’IFC, entre autres, misent sur ce domaine en plein développement.
Tapera Industries produit 3 000 litres d’essence par mois, à partir d’huiles de cuisine recyclées, pour un chiffre d’affaires de 15 000 dollars environ. Les huiles proviennent des hôtels et restaurants de Lusaka.
Accusée de corruption et de violences dans le cadre de ses recherches pétrolières dans le parc national des Virunga, en RD Congo, la compagnie britannique est dans la tourmente.
Après la RD Congo et la Tanzanie, le groupe belge s’implante au Congo. Outre un centre de maintenance, il compte y développer une activité de formation à destination des compagnies aériennes.
La compagnie prend son envol au moment où son concurrent Korongo Airlines est liquidé. Un démarrage très attendu dans un pays où il n’existe aucune desserte intérieure fiable.