Les grandes entreprises recherchent des cadres opérationnels dans les matières premières ou encore le BTP. Mais le secteur tertiaire reste le premier employeur et celui qui attire le plus les jeunes.
L’École supérieure de commerce de Grenoble et son homologue marocaine étendent leur partenariat en ouvrant un nouvel établissement. Leur cible : les étudiants subsahariens.
Pour accompagner sa croissance, le continent a de plus en plus besoin d’employés hautement qualifiés. Énergie, assurances, banque et télécoms font partie des secteurs les plus porteurs.
Les accords entre les écoles occidentales et celles du continent se multiplient. Marchés potentiels pour les premiers, qualité des formations pour les seconds : chacun y trouve son compte.
Les écoles privées africaines de management, d’ingénieurs ou de techniciens sont en plein essor et de plus en plus aptes à fournir une formation de qualité aux élites de demain.
Après la Sorbonne, écoles et universités françaises multiplient les projets d’implantation dans des émirats soucieux de développer une économie de la connaissance. Mais des écueils demeurent…
Les sociétés d’assurances peinent à trouver des cadres qualifiés. La formation continue apparaît alors comme la seule solution pour faire face à cette pénurie.
Après une année difficile, les recrutements reprennent dans le secteur minier. Dirigeants et cadres locaux restent cependant très difficiles à dénicher.
Après quatre années fastes, l’aviation d’affaires, frappée par la crise, ralentit en Afrique. Pour y faire face, les affréteurs misent sur la mutualisation de leurs services.
Longtemps négligé par les entreprises africaines, ce type de remise à niveau constitue désormais un outil indispensable à leur compétitivité. Cabinets et organismes spécialisés, locaux et internationaux, en profitent pour étoffer leurs services.