Depuis deux ans, le pays met en œuvre une « nouvelle logique », plus protectionniste. Karim Djoudi donne rarement d’interview, mais le grand argentier de Bouteflika a accepté d’exposer à Jeune Afrique sa vision de l’économie tout en défendant le bilan des mesures prises, notamment vis-à-vis des investisseurs étrangers.
Des plans quadriennaux à celui dédié au soutien de la croissance, les choix ont été variés à travers les époques en matière de politique de développement en Algérie.
Militante féministe et rapporteuse des Nations unies sur les violences faites aux femmes, Rashida Manjoo a effectué une visite en Algérie où les associations féministes sont très actives.
Le journaliste algérien Mohamed Mokeddem, alias Anis Rahmani, affirme dans un livre sorti à l’occasion du XVe Salon du livre à Alger que tout le monde se trompe sur la véritable identité d’Abdelhamid Abou Zeid.
La visite de la ministre française de la Justice Michèle-Alliot Marie à Alger a donné lieu à un long échange très ferme avec le président Algérien Abdelaziz Bouteflika.
En donnant son aval pour la création du Parti pour le développement économique et social, le président Amadou Toumani Touré semble vouloir peser de tout son poids dans sa succession.
À un an et demi de la fin du second mandat du chef de l’État, leaders et militants de tous bords sont dopés par la perspective de lui succéder. Tout le monde se positionne en vue de 2012. État des lieux des forces en présence.
La multiplication des opérations menées par les salafistes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans le Nord embarrasse ATT et pollue la fin de son mandat.
Depuis le Forum national de l’éducation en 2008, les bases d’une concertation permanente ont été mises en place pour sortir l’école malienne d’une longue situation de crise.
Dynamisme économique, chantiers tous azimuts, progrès sociaux et sanitaires, respect de la démocratie… Le bilan d’Amadou Toumani Touré est plutôt positif. Même ses détracteurs le concèdent. Parmi les derniers défis d’ATT avant 2012 qui clôturera une décennie à la tête du Mali : réorganiser les institutions et faire adopter un code de la personne et de la famille.
Les festivités du cinquantenaire à Bamako ont été l’occasion pour les soldats maliens de frapper les esprits grâce à une parade militaire de grande ampleur.
Le Haut Tribunal d’Irak a condamné, le 26 octobre, Tarek Aziz, ancien bras droit de Saddam Hussein, à la peine de mort pour « crimes contre l’humanité » et pour avoir participé à la persécution de partis islamiques avant la guerre de 2003.
Au propre, comme au figuré, les couteaux sont sortis au FLN. A un an et demi des législatives, des bagarres ont éclaté dans certaines réunions, et le secrétaire général Abdelaziz Belkhadem, est sur la sellette.
Malgré l’activisme de groupes de pression hostiles des deux côtés de la Méditerranée, le dialogue entre l’Algérie et la France n’a jamais été rompu au plus haut niveau.
À Tamanrasset, le 26 septembre, l’Algérie, le Mali, la Mauritanie et le Niger ont décidé de renforcer la coordination de leurs armées face à la menace djihadiste. Une mobilsation qui se concrétisera trois jours plus tard, par la création d’un centre commun de renseignement.
L’ancien ministre de la Défense, Soumeylou Boubèye Maïga, excellent connaisseur du Nord-Mali, devrait prochainement être nommé à un nouveau poste, pour mieux lutter contre Aqmi.
Le vice-Premier ministre algérien ne s’est pas rendu au Conseil des ministres du 28 septembre pour défendre son « code de la commune ». Une illustration de la dégradation de ses relations avec le président ?
Après l’enlèvement des sept expatriés au Niger, le Mali s’est retrouvé, bien malgré lui, au cœur de l’offensive contre Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Retour sur une semaine qui secoué Bamako, en pleines festivités du cinquantenaire de l’indépendance.
L’installation d’une fondation promise par l’ancien président français Jacques Chirac et consacrée aux guerres d’indépendance au Maghreb pourrait compromettre le réchauffement des relations entre l’Algérie et la France.
Le chef de l’État accentue le coup de barre à gauche et fait adopter quatre ordonnances majeures pour lutter contre la corruption. Mais une arrestation aussi rocambolesque qu’inattendue est venue semer le doute sur la volonté réelle de ces réformes…
Pour renforcer les relations économiques entre Alger et Paris, Nicolas Sarkozy a fait appel aux bons offices de l’ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin.
Lancée en 2004 dans la capitale pour lutter contre le terrorisme et le crime organisé, la télésurveillance va s’étendre aux grandes agglomérations du pays.