De la sueur, du sang, des larmes et une grosse crise avec l’Égypte… Khadra, l’équipe nationale algérienne, a gagné, le 18 novembre, sa qualification pour le Mondial 2010. Cette victoire a soudé tout un peuple.
Un temps considérée comme un facteur de division, puis comme une menace pour l’unité nationale, l’amazighité constitue désormais l’un des éléments reconnus de l’identité algérienne. Une sacrée avancée, même si tout n’est pas réglé.
L’Egypte de Hassan Shehata et l’Algérie de Rabah Saâdane se rencontreront une nouvelle fois mercredi 18 novembre en match de barrage pour savoir qui des deux accèdera à la phase finale de la Coupe du Monde 2010 organisée en Afrique du Sud. Le choc entre les « Pharaons » et « Khadra » aura lieu à Khartoum.
Le quartier de Diar Echems, dans les faubourgs de la capitale, a connu une poussée de fièvre similaire à celles qui sévissent sporadiquement à travers le pays. À l’origine de ces explosions de violence : misère et frustration.
Amorcée en 2006 après le braquage d’un camion transportant des rouleaux de papier fiduciaire, la traque conduite par les enquêteurs français a fini par porter ses fruits.
Usés, divisés et coupés de la population, les partis qui refusent tout compromis avec le pouvoir sont en perte de vitesse. À l’exception du PT de Louisa Hanoune.
Devoir de mémoire, relations commerciales, visas…Plusieurs dossiers empoisonnent les relations entre Alger et Paris. Et l’activisme des lobbies de part et d’autre n’est pas pour arranger les choses.