Occupés à le brocarder, ses adversaires l’ont sous-estimé. Grave erreur : le président algérien Abdelaziz Bouteflika a révélé en plusieurs occasions que sa pugnacité était intacte. On ne se refait pas…
Depuis la fin des années 1990, le pays investit massivement pour combler son retard en matière d’infrastructures ou d’emploi. Avec plus ou moins de succès.
Malgré la mise en oeuvre de trois plans quinquennaux, le manque de logements reste criant. Résultat, des millions d’Algériens attendent encore d’emménager « chez eux ».
Noms d’oiseau, anathèmes, lynchage médiatique… À quelques jours du scrutin présidentiel, les partisans des six candidats ne font pas dans la dentelle. Consternant.
Construction de centres de soins, formation du personnel médical… L’Algérie se dote d’une meilleure couverture sanitaire. Reste un point noir : la mortalité infantile.
La moindre dispute dégénère en affrontements intercommunautaires. Une blague sur les Chaouis provoque un tollé. À l’évidence, la cohésion nationale ne traverse pas une bonne passe en Algérie, à la veille de la présidentielle.
Mon premier a fait long feu, mon second a claqué la porte, mon troisième s’est rebellé, les trois autres lui sont restés fidèles. Mon tout ? Six Premiers ministres, que Bouteflika a fascinés, agacés, usés.
Selon ses partisans, le président brigue un quatrième mandat pour parachever son oeuvre. Et notamment faire de l’Algérie un pays émergent, doté d’une Constitution relookée.
L’an dernier, Kamal Benkoussa a quitté Londres et sa vie de trader pour faire de la politique à Alger. Il s’apprête à créer un parti, ainsi qu’un think tank de prospective économique.
Le 19 mars, Mostefa Bouchachi, député d’Alger sur la liste Front des forces socialistes (FFS, opposition) a donné sa démission, mettant au jour de graves dysfonctionnements au sein de la chambre basse du Parlement algérien. Interview.
L’armée algérienne a-t-elle encore son mot à dire sur la vie politique et l’élection du président ? Le chef de l’État, Abdelaziz Bouteflika, a tout fait pour réduire son influence.
« Jeune talents » est la première émission de télé-réalité diffusée à Djibouti. Lassés des sempiternels débats houleux entre le pouvoir et l’opposition, les téléspectateurs ont suivi avec passion et en direct les tribulations artistico-médiatiques de ces nouvelles stars de la chanson afar et somalie.
Un chef d’État qui n’a pas encore annoncé s’il serait candidat. Un entourage présidentiel qui le presse de le faire et accuse les services secrets de s’y opposer dans l’ombre. Des généraux qui s’en mêlent. À deux mois du scrutin, le brouillard ne se dissipe pas, au contraire !
La presse algérienne est revenue mercredi sur la lettre du président Abdelaziz Bouteflika publiée la veille. Dans laquelle celui-ci défendait publiquement le DRS du général Toufik, au centre d’une vive polémique depuis plusieurs jours.
Pendant la période électorale en Algérie, « Jeune Afrique » vous propose une revue de presse des titres arabophones. Entre les bruits de couloirs, les scoops politiques et autres coups d’éclats, la vie médiatique du pays ne manque pas de piquant.
À la tête de partis embryonnaires dépourvus de toute assise populaire, deux officiers supérieurs à la retraite annoncent leur candidature à la présidentielle d’avril.
Éclatés en une myriade de formations, les islamistes algériens peinent à se fédérer autour d’un projet commun. Résultat : leurs chances de peser sur le prochain scrutin diminuent.
Tous les jours, des décisions sont prises et des décrets signés. À l’évidence, bien que son état de santé suscite l’inquiétude, Abdelaziz Bouteflika est décidé à tenir les rênes jusqu’au bout.
Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, s’est rendu à Alger les 18 et 19 janvier. Retour sur une visite en demi-teinte au cours de laquelle ont été prises des décisions concernant la sécurité dans la zone sahélienne.
Absent de la scène publique depuis plusieurs mois pour raisons de santé, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, n’accorde pratiquement plus d’audiences. Hormis à quelques rares personnalités nationales et étrangères.
Mali, Libye, Tunisie, Syrie, nucléaire iranien… Autant de dossiers chauds auxquels l’Algérie s’intéresse de près. Explication de texte par son nouveau ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.