Certains sont joyeux, d’autres moins. Certains sont attendus, d’autres donnent lieu à un véritable suspense. Panorama des événements qui feront l’actualité en 2014.
La liberté syndicale est inscrite dans la Constitution algérienne. Et pourtant… Une seule organisation est reconnue, et les autres peinent à se faire entendre.
Le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault se rend à Alger, le 16 décembre, pour une visite de deux jours. Il sera accompagné de huit ministres de son gouvernement et une cinquantaine d’hommes d’affaires dont quelques dirigeants du CAC 40. Au cours de son séjour, une quinzaine d’accords économiques et de contrats devraient être signés. Le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, 60 ans, fait le point sur les relations entre les deux pays.
Attaque de l’ambassade américaine par les salafistes, attentat de Sousse, lutte contre les jihadistes dans le mont Chaambi… Les militaires font face à de nouvelles menaces. Si la valeur de ses hommes n’est pas remise en question, la Grande Muette est pour l’heure fragilisée par les atermoiements politiques et le manque de moyens adéquats.
Amar Saïdani, Amar Ghoul, Abdelmalek Sellal et Abdelmadjid Sidi Saïd sont quatre des hommes politiques les plus influents qui ont apporté leur soutien à Abdelaziz Bouteflika. Pour un quatrième mandat ?
Le cercle des personnalités, partis et organisations appelant le chef de l’État algérien, Abdelaziz Bouteflika, à briguer sa propre succession en avril 2014 va s’élargissant. Tandis que l’intéressé, lui, ménage le suspense.
Entre la délicate question du Sahara occidental et la crise sahélienne, difficile pour la Mauritanie de préserver l’équilibre dans les relations avec Rabat et Alger.
Pourquoi le président de la République a-t-il décidé de réorganiser en profondeur l’armée dans la foulée du remaniement gouvernemental ? Éléments de réponse.
Candidat à la présidentielle algérienne d’avril 2014, l’écrivain Yasmina Khadra est parti à la collecte des parrainages nécessaires. Ne manque plus que… son programme.
À six mois du scrutin en Algérie, prévu en avril 2014, et alors qu’aucun parti n’a désigné de candidat, l’hypothèse d’un quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika semble de plus en plus crédible.
Jusque-là, l’ex-première dame de Libye, Safia Kadhafi, était muette comme une tombe. Aujourd’hui, elle écrit à l’ONU et à l’Union africaine pour leur demander où se trouve la dépouille de son défunt mari.
Unique candidat déclaré à la présidentielle algérienne d’avril 2014, l’ancien chef du gouvernement Ahmed Benbitour prône une refondation en profondeur de l’État et l’instauration d’un nouveau mode de gouvernance.
Les supporteurs algériens des Fennecs s’apprêtent à débarquer en masse à Ouagadougou, le 12 octobre, pour le match de barrage des qualifications à la Coupe du monde de football 2014 au Brésil. Pour organiser le flux, le gouvernement d’Abdelmalek Sellal a décidé d’organiser et de subventionner un véritable pont aérien.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a reçu successivement le chef du parti au pouvoir en Tunisie, Rached Ghannouchi, et son principal opposant, Béji Caïd Essebsi, le 10 septembre à Alger.
Après une longue période de convalescence consécutive à un AVC, Abdelaziz Bouteflika a fait son grand retour. Et inventé un nouveau mode de gouvernance.
Affaibli, mais pas hors jeu… En procédant au plus vaste remaniement de ses trois mandats et en plaçant ses hommes à tous les postes clés, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, reprend la main. En ligne de mire : la présidentielle de 2014.
Malgré les difficultés que connaissent leurs homologues tunisiens et égyptiens, les islamistes algériens baignent dans l’optimisme et préparent sereinement l’élection présidentielle d’avril 2014.
Abderrezak Mokri, Président du Mouvement de la société pour la paix (le MSP) veut un changement pacifique et une organisation calme des élections présidentielles de 2014.
L´imam Mahmoud Dicko assure ne soutenir aucun candidat à la présidentielle du Mali, mais il somme les politiques de tenir compte de la sensibilité religieuse du pays.
Officiellement, les leaders religieux maliens se sont tenus à l´écart du scrutin présidentiel. Mais certains avaient choisi leur poulain. Avec l´espoir que ce champion, s´il est élu, suive leurs recommandations.
De la modernisation des infrastructures à la création de villes nouvelles, la métropole algérienne réussit à allier business, qualité de vie et loisirs.
Qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition, les partis islamistes des pays voisins – notamment Algérie, Maroc, Tunisie – suivent de près le sort de leurs homologues égyptiens.
Modibo Sidibé, le candidat des Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence fait partie des favoris du scrutin de la prochaine présidentielle malienne. Entre deux meetings, il s’est confié à « Jeune Afrique ».
Malgré les critiques, la présidentielle malienne reste fixée au 28 juillet. Et cette fois, le candidat de l’Union pour la République et la démocratie (URD), qui avait échoué au second tour en 2002, entend bien l’emporter. Questions à Soumaïla Cissé, un homme en campagne.
Ce Saint-Cyrien de 41 ans est considéré comme l’éminence grise de la junte qui a renversé, le 22 mars 2012, le président Amadou Toumani Touré (ATT). Ministre de l’Administration territoriale dans le gouvernement de transition et, à ce titre, en charge de l’organisation de l’élection présidentielle, prévue le 28 juillet, Moussa Sinko Coulibaly défend le calendrier controversé du scrutin.