Attaque-surprise d’une ampleur exceptionnelle, répercussions internationales, violence inouïe… L’attaque sur le site gazier replonge l’Algérie dans les années noires.
L’introduction d’un nouveau mode de scrutin à Djibouti devrait permettre à l’opposition de faire son entrée à l’Assemblée nationale lors des législatives du 22 février.
Malgré d’excellents résultats aux élections locales, le Front de libération nationale a perdu bon nombre de communes qui lui étaient promises. Un tour de passe-passe signé des autres partis algériens.
Quatre jours après la victoire du Rassemblement national démocratique (RND), son parti, aux sénatoriales du 29 décembre, Ahmed Ouyahia a démissionné de son poste de secrétaire général.
Pour sa première visite d’État, François Hollande a séduit ses hôtes et su trouver le ton juste. Le début d’une nouvelle ère pour les relations bilatérales ?
Assigné à résidence à Niamey, le fils du défunt « Guide » libyen Saadi Kadhafi boude et proteste. Sans savoir gré au Niger de s’opposer à son extradition.
Confirmée lors des scrutins du 29 novembre, la percée électorale du Mouvement populaire algérien (MPA) fait de son patron, Amara Benyounes, un acteur majeur de la scène politique.
C’est en présence du nouveau Premier ministre éthiopien, Halié Mariam Desalegn, que le président Ismaïl Omar Guelleh a lancé, le 12 décembre, les travaux du port en eaux profondes à Tadjourah, deuxième ville du pays.
En nombre de listes engagées aux élections locales du 29 novembre, le frais émoulu MPA était loin derrière le FLN et le RND, mais il devançait les islamistes. Et le parti de Amara Benyounes a confirmé haut la main son score des législatives de mai… et son rang de troisième force politique du pays.
Désertées pendant la décennie noire, les campagnes, montagnes et oasis se repeuplent et gagnent une certaine douceur de vivre à mesure que la production agricole redécolle.
Dans son dernier livre, Belaïd Abdesselam, le premier patron de Sonatrach, devenue première entreprise du continent, revient sur les grandes étapes de la nationalisation des hydrocarbures. Il en dévoile des aspects inédits.
Si les municipales du 29 novembre, dernier scrutin avant la présidentielle, ne passionnent guère les foules, partis et leaders politiques, eux, jouent gros. Carnet de campagne.
Inscrite dans le plan d’action du gouvernement Sellal, la stratégie de réhabilitation de la ville d’Alger a été dévoilée le 24 octobre par Mohamed Kebir Addou, wali (préfet) de la capitale : aménagement de la baie, restauration de la Casbah et réhabilitation du vieux bâti, portant sur 12 000 logements qui constituent le coeur d’Alger.
À travers l’hommage rendu au militant anticolonialiste Pierre Chaulet, c’est l’histoire des Algériens d’origine européenne qui se sont battus pour l’indépendance qui a été rappelée. Une occasion de découvrir, pour les plus jeunes, des héros méconnus.
À un an et demi de la présidentielle algérienne, Abdelaziz Bouteflika prépare sa succession. Il a remanié le gouvernement, revu sa feuille de route, et appelle à une réconciliation d’un nouveau genre. Celle des citoyens avec l’État.
De la situation dans la bande sahélo-saharienne à l’état des relations avec Paris, le ministre des Affaires étrangères décrypte la politique étrangère de son pays.
Bureaucratie, accès difficile au logement et aux soins, problèmes de transport, corruption… Le nouveau gouvernement promet de s’attaquer aux fléaux qui minent le quotidien des Algériens, dont la fameuse « chkara » (pot-de-vin). Un chantier colossal.
Avant même le scrutin municipal du 29 novembre, la recomposition de l’échiquier politique est bien réelle en Algérie. Amorcé au début de l’année, le processus de réformes n’y est pas étranger.
La perspective d’une intervention militaire dans le Nord-Mali se précisant, le commandement de l’Armée nationale populaire (ANP) se prépare à faire face à toute éventualité, notamment dans le sud de l’Algérie.
Il y a cinquante et un ans, à Paris, une manifestation d’Algériens indépendantistes était réprimée dans le sang. François Hollande a officiellement reconnu les faits. Alger salue le geste.
Décédé le 6 octobre, le troisième président de la République algérienne, Chadli Bendjedid, restera dans l’Histoire comme celui qui introduisit le multipartisme, enterra le socialisme scientifique cher à Boumédiène et permit l’émergence d’une société civile.
Alors que François Hollande doit se rendre en Algérie en décembre, les relations entre la France et son ancienne colonie sont empoisonnées par deux dossiers, dont la situation au Nord-Mali.