Le label « Origine Algérie garantie » initié et préparé depuis plusieurs mois par le Forum des chefs d’entreprises a été officiellement lancé mercredi 04 novembre. Les premiers produits labellisés apparaîtront d’ici la fin de l’année.
L’Algérie continue de reculer dans le classement Doing Business de la Banque Mondiale et perd deux places supplémentaires par rapport à l’an dernier rejoignant le groupe des derniers pays du tableau.
Pour éviter une reproduction de la panne géante d’internet qui a frappé le pays, les autorités multiplient les annonces, quitte à ressusciter de vieux projets…
Face à la concurrence des grandes chaînes hôtelières telles que Marriott ou Radisson, ces patrons n’hésitent plus à investir dans le secteur, en développant une offre à la fois adaptée au tourisme d’affaires, ainsi qu’aux futurs vacanciers. Portraits de ces dirigeants africains. Karim Chérif dirige le Groupe Eden, en Algérie.
Face à la concurrence des grandes chaînes hôtelières telles que Marriott ou Radisson, ces patrons n’hésitent plus à investir dans le secteur, en développant une offre à la fois adaptée au tourisme d’affaires, ainsi qu’aux futurs vacanciers. Portraits de ces dirigeants africains. En Algérie, Djillali Mehri est le patron du groupe Mehri.
Dénonciation des obstacles auxquels sont confrontés les projets industriels en Algérie, accusations de fraude… Cette semaine le ton est monté de plusieurs crans entre le ministre algérien de l’Industrie, Abdeslam Bouchouareb, et Issad Rebrab, le patron du groupe privé Cevital.
Le numéro un algérien de l’électroménager Condor Electronic, filiale du groupe Benhamadi, s’associe au coréen Dasan Networks, spécialisé dans les solutions liées aux nouvelles technologies. L’objectif de cette alliance est d’investir dans plusieurs projets dans les secteurs électronique et électrique en Algérie.
Les travaux de réalisation du pôle industriel des textiles menés par la co-entreprise algéro-turcque Tayal débuteront en novembre prochain. Objectif : répondre à la demande locale d’habillement.
Brutalement démis de ses fonctions, le ministre du Commerce était pourtant un soutien d’Abdelaziz Bouteflika. Une décision surprenante prise alors qu’il dénonçait les pratiques financières du secteur automobile.
Difficultés administratives, absence d’industrie, problèmes d’importation… Les grandes enseignes ont bien du mal à s’implanter dans le pays le plus attractif de la région.
Six ans après son extinction, le célèbre logo fléché bleu-blanc-rouge de Carrefour s’est remis à briller jeudi 18 juin à Alger, illuminant de loin le flambant neuf centre-commercial City Center inauguré le premier jour du ramadan.
Le think tank « Notre Algérie bâtie sur de nouvelles idées » (Nabni) publie un nouveau plan d’urgence 2016-2018 élaboré autour de douze mesures concrètes pour un changement de voie immédiat, en matière économique notamment.
Si, d’apparence, l’économie semble avoir été reléguée au second plan de la visite éclair de François Hollande à Alger, derrière les dossiers sécuritaires, elle est un enjeu de premier ordre de ce déplacement. Décryptage.
Depuis novembre 2014, l’usine de Oued Tlelat, près d’Oran, fabrique les premières voitures made in Algeria. Une expérience industrielle devenue un modèle dans le contexte actuel de crise pétrolière.
Alors que le déficit commercial de l’Algérie explose (- 4,32 milliards de dollars à la fin avril), l’Algérie prépare de nouvelles mesures pour encourager l’investissement « productif » et alléger la facture des importations.
Sur un marché en perte de vitesse et de plus en plus concurrentiel, l’entreprise de boissons les Nouvelles conserveries algériennes (NCA-Rouiba) enregistre une croissance de 17 % de son chiffre d’affaires en 2014, a annoncé Slim Othmani, le président de son conseil d’administration, lors de la présentation du bilan annuel.
Le cahier des charges controversé de mars 2015 durcissant les conditions d’exercice des concessionnaires automobiles a finalement été amendé par le gouvernement algérien, mettant fin au blocage des importations de véhicules neufs.
Annoncé à 341 millions de dollars, il y a un mois, le déficit de la balance commerciale de l’Algérie s’est finalement établi à 1,73 milliard de dollars au premier trimestre 2015, selon les chiffres officiels.
La société de crédit-bail Maghreb Leasing Algérie (MLA) a émis avec succès un emprunt obligataire institutionnel de deux milliards de dinars (environ 19 millions d’euros) sur le marché financier algérien.
Le gouvernement algérien a adopté le décret restaurant le crédit à la consommation, après une suspension de plus de cinq ans. Réservé aux produits nationaux, il devrait entrer en vigueur avant juin.
Grâce au volontarisme de l’État, cette zone désertique est devenue la première région productrice de pommes de terre du pays. Prochaine étape : la tomate.
Création d’espaces verts, protection contre les inondations, gestion des rejets industriels… Le vaste projet de réaménagement des berges du fleuve El-Harrach s’inscrit dans le plan de modernisation de la capitale.
La distribution d’appareils électroménagers Samsung en Algérie sera désormais assurée par Witel Home Appliances. Pour Issad Rebrab, patron du groupe Cevital, dont une filiale détenait jusqu’à présent cette concession, cette perte sera sans effet sur l’activité du conglomérat algérien.
Fréquentation en baisse, ventes modestes, le Salon de l’automobile d’Alger qui vient de s’achever a été à l’image du marché : en recul progressif depuis les années fastes de 2011-2012.
Les conséquences de la chute des prix du baril de pétrole se font sentir en Algérie : le pays a enregistré un déficit de 341 millions de dollars de sa balance commerciale sur les deux premiers mois 2015.
Une rencontre entre patrons algériens et africains ? L’invitation est lancée. Il faut dire que, longtemps en retrait, les industries du pays veulent gagner des parts de marché sur le continent.
Le bras de fer entre les opposants au gaz de schiste et l’État algérien rentrera bientôt dans son deuxième mois, sans laisser entrevoir de signe d’apaisement. Au contraire, le dialogue semble définitivement rompu entre les deux parties.
Une équipe renforcée, une distribution étendue, une nouvelle marque, Amana… Le directeur de la filiale de la Macif a posé les bases d’un développement durable. En 2015, il veut élargir son offre à la santé.
S’il n’a pu concrétiser son partenariat avec Renault, Abderrahmane Benhamadi l’héritier du groupe familial algérien investit de nouveaux secteurs et sonde le marché subsaharien.