De l’Algérie à la RDC en passant par la Côte d’Ivoire, les cabinets locaux taillent des croupières aux grands cabinets basés à Londres ou Paris… tout en s’associant avec eux quand c’est mutuellement bénéfique.
À la différence des entreprises, les avocats spécialistes du continent continuent pour l’instant de miser sur Paris, Londres ou Casablanca, même quand leurs cabinets sont aussi présents dans l’émirat.
Si la culture de l’arbitrage s’intensifie sur le continent, elle reste insuffisante au regard des enjeux auxquels entreprises et États font face. Analyse.
Malgré la difficulté à trouver des débouchés et à accéder au financement, ou encore le manque de maturité technologique des solutions, le fondateur de Legal Tech Africa croit à l’essor des start-up dans le domaine juridique sur le continent.
L’essor des start-up tech, moteur des économies continentales, pousse les États à se doter de législations protégeant les données personnelles. Une pratique pour laquelle le rôle des avocats se révèle crucial.
L’augmentation des coûts et l’arrivée d’acteurs privés sur le marché des énergies renouvelables entraînent la modification des contrats et la construction de cadres réglementaires par les avocats d’affaires présents sur le continent.