Pour les experts du secteur, Alberto Calderon, le nouveau patron colombien d’AngloGold Ashanti, doit développer le groupe panafricain dans son pays natal. Explications.
Un projet de loi visant à réduire les taux d’intérêts exorbitants pratiqués par certaines plateformes de prêts sur internet va être déposé au Parlement. Et si Nairobi était l’exemple à suivre ?
La croissance des produits bancaires conformes à la charia est bloquée faute d’évolution de la législation, juge Wahida Mohamed, fondatrice du Hub Fintech islamique d’Afrique subsaharienne.
Côte d’Ivoire, Sénégal, Maroc, Rwanda… L’assurtech nigériane compte s’appuyer sur le réseau de clients comme AXA Mansard ou Old Mutual pour accélérer sur le continent.
Devant l’effondrement du transport aérien – et donc des fournitures de repas à bord – la compagnie française très active dans la région (Côte d’Ivoire, Sénégal, Burkina Faso) compte diversifier ses prestations.
La force majeure invoquée par le géant français révèle l’urgente nécessité de contrer l’insurrection islamiste. Sans coalition internationale, le projet gazier de Cabo Delgado, axe de développement stratégique pour Maputo, pourrait ne jamais voir le jour.
Issu de zones de conflits et passé en contrebande, l’or est un métal difficile à tracer. Mais l’harmonisation des taxes entre pays africains pourrait être un premier pas.
Après sa levée de 170 millions de dollars, la fintech nigériane compte étendre son réseau de traitement des paiements en Afrique du Nord, et n’exclut pas d’y assurer aussi une présence physique.
Sentant le vent tourner en faveur de la multiplication des échanges, le spécialiste américain du paiement tente d’intensifier le virage numérique des banques africaines.
Si Le Caire fait figure de pilote pour le projet d’expansion du concept d’appartements avec services hôteliers de Radisson, d’autres villes devraient suivre rapidement.
La décote du cours de l’action Naspers par rapport à la valeur de son portefeuille d’actifs, essentiellement tourné vers des services sur Internet, s’accroît alors même que la pandémie booste l’usage du numérique.
Conscient de l’énorme potentiel du marché égyptien, le constructeur recommande au Caire, qui aspire à devenir le hub automobile de la région, de suivre le modèle de production locale de composants ainsi que le régime fiscal du royaume chérifien.
Le DG du géant américain pour l’Afrique subsaharienne presse pour une amélioration du cadre des partenariats public-privé (PPP), notamment dans les domaines de la santé et de l’énergie, essentiels pour le continent.
L’arrêt d’activité lié au confinement correspond bien au « risque pandémique » proposé dans la police d’assurance du groupe, a estimé la Haute Cour du Cap, qui a sommé Santam d’indemniser un opérateur hôtelier.
Alors que la justice sud-africaine doit déterminer si les pertes liées au confinement sont une conséquence directe de la pandémie, le réassureur Swiss Re prévient que les montants en jeu dépassent les capacités des acteurs du secteur.
Après la nomination de deux co-PDG pour le Moyen-Orient et l’Afrique en septembre, la principale banque allemande lorgne le marché éthiopien, malgré des fragilités structurelles.
Tout juste cotée à la Bourse danoise, la start-up musicale a dévoilé un plan de développement ambitieux. Mais son modèle fondé sur la publicité risque de se heurter à une concurrence déjà rude.
Avec un crédit de 85 millions de dollars de l’AFD, le fonds ghanéen dédié aux infrastructures (GIIF) espère convaincre deux autres institutions de développement.
L’achat d’une participation dans Barrick par Berkshire Hathaway envoie un faux signal aux investisseurs habitués à suivre l’homme d’affaires américain.
Déjà présent dans le royaume chérifien notamment via Amethis, dont il est le principal actionnaire, le capital-investisseur de Genève est sur le point de boucler de nouveaux accords.
La première banque rwandaise, déjà active dans le secteur des assurances non-vie, cherche à étendre sa gamme de services à l’assurance-vie, que ce soit par le rachat d’une compagnie ou par un développement interne de l’activité.
Alors que les Philippines et le Sri Lanka ont suspendu les négociations boursières en raison de l’épidémie de coronavirus, investisseurs et analystes mettent en garde contre les effets qu’aurait une telle décision pour les marchés africains.
Alors que les clients se détournent des agences bancaires pour limiter les risques de contamination, la banque sud-africaine chamboule son calendrier pour déployer ses plateformes numériques d’ici la fin de l’année.