Alors que les clients se détournent des agences bancaires pour limiter les risques de contamination, la banque sud-africaine chamboule son calendrier pour déployer ses plateformes numériques d’ici la fin de l’année.
L’opérateur sud-africain cherche à revendre ses participations dans l’entreprise de tours de télécommunication IHS Towers mais la valeur de cet actif pourrait s’avérer nulle.
Accusée de ne pas respecter les règles du Google Play Store avec ses applications de micro-crédit OKash et OPesa au Kenya et OPay au Nigeria, la société norvégienne de logiciels Opera dénonce une manœuvre pour faire chuter son cours en bourse.
« Le London Stock Exchange (LSE) est certainement la première place financière d’Afrique aujourd’hui. » Cette affirmation récente d’un analyste financier britannique pourrait bien être mise à mal par le Brexit.
La suppression du plafonnement des taux d’intérêt sur les prêts commerciaux au Kenya ne suffit pas pour dissiper l’éventail des risques auxquels le secteur financier du pays est confronté.
Le débat fait rage entre les partisans du modèle boursier et les défenseurs du private equity. Mais où trouver les meilleurs retours sur investissement ?
Si les perspectives de croissance sont faibles en Afrique du Sud, les investissements de la première banque du continent restent prometteurs hors de ses bases, alors qu’elle intensifie ses efforts dans le numérique et la réduction des coûts.