La condamnation pour « harcèlement » du journaliste béninois Ignace Sossou pour une série de tweets portant sur l’intervention du procureur de la République lors d’un débat sur les « fake news » organisé par Canal France International (CFI) provoque l’indignation d’une partie de la société civile béninoise. Et soulève plusieurs questions que pointe son confrère Deo Gratias Kindoho.