La crise actuelle vient accélérer une tendance préexistante de relocalisation des relations économiques qui privilégie des circuits courts de production et de distribution. Pour les pays spécialisés uniquement dans l’exportation de commodités à faible valeur ajoutée, la situation risque de devenir intenable.
L’accès et l’utilisation des devises étrangères en zone Cemac est au cœur d’un dur conflit entre la Banque centrale et les entreprises exportatrices. Peut-il être résolu avant qu’il n’affecte la santé financière de la région ?