Après son entrée réussie sur le marché des intrants, le magnat nigérian doit encore rentabiliser son investissement de 2,5 milliards de dollars. Et s’implanter durablement en Afrique de l’Ouest, où il demeure un acteur modeste.
Place de Pékin sur le continent, relation entre l’État et le monde entrepreneurial, aménagement de Dakar. Sur tous ces sujets, l’architecte-entrepreneur sénégalais appelle à innover.
Déjà en compétition avec Yara, le numéro un historique du marché ivoirien des engrais est bousculé par l’agressivité d’un autre opérateur, le négociant ETG.
Clé de voûte du secteur agricole, l’approvisionnement en fertilisant représente un marché stratégique, qui réunit quelques acteurs de poids et une galaxie d’autres opérateurs aux grandes ambitions. Plongée dans un milieu à cheval entre l’économie et la politique.
Le conflit armé qui frappe le Soudan à des incidences multiples. Si tous les secteurs sont touchés, l’importance des répercutions dépend notamment de la proximité des activités avec la capitale Khartoum.
Balnéaire, business, écologie… Le pays de la Teranga veut concrétiser son potentiel touristique et vise les 3 millions de visiteurs par an d’ici à 2035, soit 1,2 million de plus que prévu cette année.
En autorisant l’importation de 20 000 tonnes de sucre, l’exécutif a apaisé les tensions sur le marché national, en plein ramadan. Il ne règle pas pour autant le différend entre les importateurs et le producteur local, la Compagnie sucrière sénégalaise.
La holding dirigée par Charaf-Eddine Amara, ancien patron de la Fédération algérienne de football, crée une société de production et commercialisation de sucre. L’un des créneaux phares du conglomérat de la famille Rebrab.
Malgré la volatilité des cours et les pressions fiscales, le navire amiral du groupe Sifca, leader continental du caoutchouc, entend franchir un cap en boostant ses capacités de production.
Aux commandes du groupe familial depuis le départ à la retraite de son père, Issad, en juin 2022, le patron du premier conglomérat privé d’Algérie a réussi à détendre les relations avec les autorités. Il lui reste à imprimer sa marque.
Le mastodonte de l’or noir angolais vient de débourser 40 millions de dollars pour soutenir un projet de raffinerie qui suscite de nombreuses questions.
La tendance mondiale au tassement de la hausse des prix des produits de consommation de base ne se voit pas encore clairement sur le continent. Explications.
Le CCC, régulateur de l’industrie de l’or brun ivoirien, restreint les achats de fèves pour certains acteurs, dont les mastodontes du secteur, pour éviter une crise.
À un mois du Ramadan, la lutte contre l’inflation semble prendre le pas sur l’un des grands axes de la politique économique du royaume, l’essor des exportations de fruits et légumes. Les cultivateurs, de tomates en particulier, sont inquiets.
La production d’or blanc est en recul dans la plupart des pays de l’Afrique de l’Ouest en raison de l’invasion d’un nouveau parasite. Des mesures de soutien aux cotonculteurs ont été annoncées.
Disposant de solides marques sur le continent, notamment au Maroc, le géant français de l’agroalimentaire peine toutefois à convertir ses efforts en résultats financiers.
En Afrique orientale, le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab, leader sur le continent, fait face à une concurrence croissante du géant saoudien des engrais et des mines. Explications.
Réalisation phare de l’ère dos Santos, la ville nouvelle, située en périphérie de Luanda, n’a pas tenu toutes ses promesses. Pourtant, les projets de ce type se multiplient, encouragés par le président João Lourenço. Reportage.
La guerre en Ukraine a permis à la France de marquer des points face à la Russie dans la bataille pour l’approvisionnement en blé du Maroc, de l’Algérie et de l’Égypte.
Après deux années en or, le géant marocain des phosphates dispose des moyens financiers de réussir l’ambitieuse transition verte qu’il promet. Mais le plus dur reste à faire.
L’essor des ventes à l’étranger de tomates, agrumes et fruits rouges est une réussite incontestable du Plan Vert du royaume. Mais le modèle agricole sur lequel repose ce succès doit aujourd’hui être revu.
Dans un contexte de tensions sur la sécurité alimentaire, le groupe de Sunny Verghese table sur ses bonnes performances financières pour réussir l’introduction en bourse de ses deux nouvelles filiales agribusiness.
La Côte d’Ivoire et le Ghana veulent utiliser leur position d’acteurs de premier plan du marché mondial du cacao pour obtenir une meilleure rémunération de leurs planteurs. Un combat légitime mais difficile à mener. État des lieux en infographie.
L’ambitieux programme de privatisation engagé par le président angolais, João Lourenço, depuis son arrivée au pouvoir, en 2017, connaît des hauts et des bas. Point d’étape.
Pour l’expert François Ruf, la Côte d’Ivoire et le Ghana doivent maîtriser leur production de fèves s’ils veulent avoir une chance de remporter leur bras de fer avec l’industrie sur la rémunération des planteurs.
Malgré le bras de fer imposé par la Côte d’Ivoire et le Ghana, les industriels et distributeurs gardent la main sur la filière du chocolat et le prix payé aux producteurs. Explications.
Premier et deuxième fournisseurs mondiaux de fèves, la Côte d’Ivoire et le Ghana ont engagé un bras de fer avec les géants de l’industrie du chocolat pour obtenir une meilleure rémunération des cacaoculteurs. Une bataille de longue haleine.
L’annonce d’un deuxieme gel des actifs de la femme d’affaires angolaise est la dernière illustration de la rude bataille à l’œuvre entre le camp dos Santos et la présidence Lourenço.