La production d’or blanc est en recul dans la plupart des pays de l’Afrique de l’Ouest en raison de l’invasion d’un nouveau parasite. Des mesures de soutien aux cotonculteurs ont été annoncées.
Disposant de solides marques sur le continent, notamment au Maroc, le géant français de l’agroalimentaire peine toutefois à convertir ses efforts en résultats financiers.
En Afrique orientale, le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab, leader sur le continent, fait face à une concurrence croissante du géant saoudien des engrais et des mines. Explications.
Réalisation phare de l’ère dos Santos, la ville nouvelle, située en périphérie de Luanda, n’a pas tenu toutes ses promesses. Pourtant, les projets de ce type se multiplient, encouragés par le président João Lourenço. Reportage.
La guerre en Ukraine a permis à la France de marquer des points face à la Russie dans la bataille pour l’approvisionnement en blé du Maroc, de l’Algérie et de l’Égypte.
Après deux années en or, le géant marocain des phosphates dispose des moyens financiers de réussir l’ambitieuse transition verte qu’il promet. Mais le plus dur reste à faire.
L’essor des ventes à l’étranger de tomates, agrumes et fruits rouges est une réussite incontestable du Plan Vert du royaume. Mais le modèle agricole sur lequel repose ce succès doit aujourd’hui être revu.
Dans un contexte de tensions sur la sécurité alimentaire, le groupe de Sunny Verghese table sur ses bonnes performances financières pour réussir l’introduction en bourse de ses deux nouvelles filiales agribusiness.
La Côte d’Ivoire et le Ghana veulent utiliser leur position d’acteurs de premier plan du marché mondial du cacao pour obtenir une meilleure rémunération de leurs planteurs. Un combat légitime mais difficile à mener. État des lieux en infographie.
L’ambitieux programme de privatisation engagé par le président angolais, João Lourenço, depuis son arrivée au pouvoir, en 2017, connaît des hauts et des bas. Point d’étape.
Pour l’expert François Ruf, la Côte d’Ivoire et le Ghana doivent maîtriser leur production de fèves s’ils veulent avoir une chance de remporter leur bras de fer avec l’industrie sur la rémunération des planteurs.
Malgré le bras de fer imposé par la Côte d’Ivoire et le Ghana, les industriels et distributeurs gardent la main sur la filière du chocolat et le prix payé aux producteurs. Explications.
Premier et deuxième fournisseurs mondiaux de fèves, la Côte d’Ivoire et le Ghana ont engagé un bras de fer avec les géants de l’industrie du chocolat pour obtenir une meilleure rémunération des cacaoculteurs. Une bataille de longue haleine.
L’annonce d’un deuxieme gel des actifs de la femme d’affaires angolaise est la dernière illustration de la rude bataille à l’œuvre entre le camp dos Santos et la présidence Lourenço.
Après sa rupture avec Coca-Cola dans les sodas, le géant français des boissons a cédé certaines de ses activités dans l’eau minérale, tout en consolidant sa position dans la bière.
Pas à pas, le directeur général d’Arise, dont les zones industrielles centrées sur la transformation locale ont le vent en poupe, a su bâtir un réseau multiforme.
Alors que la justice angolaise a demandé l’émission d’un mandat d’arrêt contre la fille de l’ancien président dos Santos, cette dernière n’a pas dit son dernier mot.
Agriculture intra-muros, réhabilitation de marchés, investissement dans les transports… Il faudra une action concertée et multiforme pour subvenir à l’alimentation des 760 millions de citadins que comptera l’Afrique en 2030.
Les deux premiers producteurs mondiaux de cacao accroissent la pression sur les acheteurs de fèves pour obtenir une meilleure rémunération des planteurs.
Avenir du marché des boissons gazeuses, création d’emplois, place des importations… Pour l’ancien patron de la SABC, filiale de Castel au Cameroun, le continent a les moyens de devenir une terre d’agro-industries.
Décidée par la présidence Lourenço, la nationalisation du principal opérateur de téléphonie du pays acte la sortie d’Isabel dos Santos et du général « Dino » du capital d’un fleuron de l’économie angolaise.
L’Opep du cacao accroît la pression sur l’industrie du chocolat pour défendre le revenu des planteurs. Mais a-t-elle les moyens de faire plier les géants du secteur ?
En plein regain de tensions entre l’« Opep du cacao » et l’industrie du chocolat, le ministre ivoirien de l’Agriculture défend un rééquilibrage du rapport de force dans la filière de l’or brun.
En plein bras de fer avec les multinationales du chocolat pour un meilleur revenu des planteurs, Abidjan mène aussi une double lutte pour rendre plus durable la filière de l’or brun. Point d’étape.
L’avenir de l’ancien homme fort de la présidence dos Santos est hypothéqué par sa situation judiciaire. Un nouveau test pour la croisade anti-corruption de l’actuel chef de l’État, João Lourenço.
Dans un contexte de flambée des prix, le patron d’OCP réaffirme l’engagement du géant marocain des phosphates à faciliter l’accès aux engrais sur le continent.
Traçabilité totale des fèves d’ici à 2024, annonce d’une première vente à un prix encourageant… Depuis 2018, Abidjan et Accra ont engagé un bras de fer avec la filière de l’or brun pour défendre la place des planteurs. État des lieux.
Croissance, relation avec la Chine, essor de l’agriculture… Le ministre angolais de l’Économie met en avant l’effet des réformes engagées par le président Lourenço. Tout en reconnaissant qu’il faut aller plus vite.