Lancé en 2012, le projet portuaire Nador West Med vise, à côté de Tanger Med, à renforcer la position du Maroc sur le bassin méditerranéen. Septième opus de la sélection JA des projets majeurs de BTP de l’Afrique francophone.
Le spécialiste de la chimie de la construction a lancé dans le royaume une offensive d’envergure en rachetant Sodap Maroc. Ses positions couvrent l’ensemble du pays, portant un rude coup à la concurrence.
La relance de la RAM dépendra de l’appui financier du gouvernement, mais ce dernier exigera des contreparties quant aux effectifs et aux charges de fonctionnement de la compagnie. En attendant, la campagne de dépistage de ses salariés vient de démarrer.
Avec les 136 millions d’euros qu’elle compte lever sur le marché obligataire marocain, la filiale d’Al Mada anticipe les changements de règles prudentielles… et intensifie sa quête de relais à l’est du continent.
Le gouverneur de Bank al-Maghrib a connu les difficiles années 1980 au Maroc. Une expérience et une longévité qui sont des atouts face à la crise du Covid-19.
Face aux crises, les gouverneurs de banques centrales doivent être réactifs, tout en préservant les fondamentaux. Plongée, de Rabat à Dakar, au cœur d’un métier à très haute responsabilité.
Renforcée par l’absorption de Sanad, l’autre compagnie du groupe de la famille Bensalah, Atlanta Assurances consolide sa présence sur le marché marocain et peut envisager une internationalisation.
Alors que la justice vient d’autoriser l’État marocain à disposer des capacités de stockage de la Samir, le feuilleton de la liquidation du raffineur national n’est toujours pas bouclé.
Après un chiffre d’affaires en baisse de 30 à 40 % pour les mois de mai et juin du fait de la crise liée au coronavirus, les centres d’appels marocains tablent sur un retour à la normale pour la fin de l’année. Le point avec Otmane Serraj, le président de l’Association marocaine de la relation client.
Saluant la capacité d’adaptation de l’économie marocaine à la crise du coronavirus, le patron de Casablanca Finance City appelle à imaginer des réponses collectives et innovantes.
Dans leur rapport « Crise sanitaire Covid-19 : des lueurs d’espoir au bout du tunnel », les analystes d’Attijari Global Research se sont penchés sur les secteurs qui bénéficient ou vont bénéficier d’une nouvelle dynamique de croissance du fait de la crise.
Au Maroc, si le secteur du tourisme est particulièrement touché par la crise sanitaire, Risma en est l’un des exemples. Après avoir investi pendant de nombreuses années dans la rénovation de ses établissements, dont le Sofitel de Marrakech, l’hôtelier devrait plonger un peu plus dans le rouge durablement.
Représentant 11 % du PIB et 5 % des emplois du pays, le secteur est à l’arrêt dans le royaume. Appelant à un soutien des pouvoirs publics pour passer la crise, les professionnels savent qu’ils vont devoir revoir leur offre pour se centrer sur la clientèle marocaine.
Le secteur de hébergement/restauration et les TPE sont frappés de plein fouet, annonce le Haut-commissariat au plan qui a dévoilé un rapport sur les conséquences immédiates de la crise sanitaire.
Après plus d’un mois d’arrêt, les deux usines marocaines de Renault doivent reprendre progressivement leurs activités, tout en respectant un protocole sanitaire pour assurer la sécurité des employés.
En cette période de crise sanitaire, le patronat marocain et la filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé lancent une initiative pour aider les start-up marocaines à s’internationaliser. Le partenariat vise, dans un premier temps, la zone Afrique du Nord.
C’est la première fois que le royaume fait appel à la « Ligne de précaution et de liquidité », un dispositif auquel il souscrit depuis 2012 afin d’être en capacité de de limiter l’impact des chocs extérieurs.
L’application de vidéoconférence Zoom comporte des « vulnérabilités critiques » qui pourraient permettre à un attaquant d’accéder à des données confidentielles et d’exécuter des commandes à distance, prévient l’Administration de la défense nationale.
Par courriers interposés, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) se sont mutuellement reprochés de ne pas être la « hauteur », alors que la crise sanitaire ébranle le monde des affaires.
Malgré les restrictions imposées par les autorités marocaines pour lutter contre la propagation du Covid-19, l’activité à Tanger Med reste presque identique à ce que passait avant.
Après un timide rebond la semaine dernière, l’afflux de mauvaises nouvelles en provenance des sociétés cotées a quelque peu terni l’optimisme à la Bourse de Casablanca.
Touchée dans un premier temps par la panique qui a saisi la Bourse de Casablanca, la filiale marocaine du géant émirati Taqa relève la tête : tant que l’approvisionnement en charbon se poursuit, la centrale thermique de Jorf Lasfar continue à produire.
Les acteurs du commerce se veulent très rassurants quant à la disponibilité des marchandises, après une période de « panique » et de ruée vers les épiceries et les grandes surfaces des Marocains.
Dès l’apparition du premier cas de coronavirus sur son sol, le royaume a pris des mesures pour limiter l’impact économique de la crise. Mais face aux annulations en série, les entreprises réclament plus d’aides.
La Bourse de Casablanca a choisi son prochain directeur général, Tarik Senhaji. Cet ancien de la City devra d’abord surmonter cette période de crise liée coronavirus avant de boucler la mue entamée par son prédécesseur.
Alors qu’une partie de l’industrie marocaine est à l’arrêt du fait du Covid-19, la dernière réunion du Comité de veille économique a mis en place des mesures en faveur des entreprises et des salariés du privé.
Tout en annonçant des mesures pour limiter le nombre de clients dans les agences, les banques marocaines veulent continuer à servir leurs clients « de façon normale » et s’engagent à assurer l’approvisionnement régulier des distributeurs.