Le producteur d’électricité émirati et l’Office national de l’électricité et de l’eau potable ont reconduit le contrat portant sur la production de la centrale thermique de Jorf Lasfar, qui fournit 40 % de l’électricité au Maroc.
PDG du groupe marocain depuis le mois d’août 2019, Abdelmounaime Faouzi a pour mission de diversifier davantage l’entreprise tout en consolidant sa présence dans la construction.
Le royaume poursuit le processus de réforme du régime de change avec un nouvel élargissement des bandes de fluctuation du dirham, une étape fortement encouragée par le FMI.
Gestionnaire avisé à la fibre politique, Mustapha Bakkoury, 55 ans, a eu plusieurs vies avant de devenir l’homme fort des énergies renouvelables au Maroc.
En dix ans, l’agence pour l’énergie durable a fait du Maroc un pays clé des énergies renouvelables, qui représentent 35 % de sa production électrique. Leur part – solaire et éolien en tête – continue de croître au Maroc.
Grâce à sa solution technologique, le marocain 2WLS, spécialiste de la fidélisation sur internet, se présente comme capable d’apporter de la croissance aux entreprises locales mais aussi sur l’ensemble du continent.
L’économie marocaine devrait connaître un léger ralentissement cette année et n’atteindre que les 2 % de croissance en raison des incertitudes extérieures, d’après Ludovic Subran, chef économiste et directeur de la recherche économique du groupe Allianz. Ce dernier n’hésite pas à se montrer critique à l’égard des banques marocaines notamment.
La première banque marocaine en Afrique, qui a passé le cap des 100 milliards de dirhams (9,2 milliards d’euros) de valorisation à la Bourse de Casablanca, a restructuré son état-major et repensé l’architecture interne en créant de nouvelles entités pour une nouvelle phase de croissance sur le continent. Décryptage.
Malgré la pression du FMI, qui voudrait voir la réforme du régime de change accélérer au Maroc, Mohamed Benchaâboun et Abdellatif Jouahri insistent sur la souveraineté du royaume et misent sur une bascule « progressive » vers le nouveau système.
Très exposé au risque de pénurie d’eau, le Maroc vient de lancer un programme alliant nouvelles infrastructures et mesures d’optimisation des ressources.
Après avoir conduit le plan Maroc Vert pendant plus d’une décennie, le ministre marocain de l’Agriculture a présenté une nouvelle feuille de route, plus axée sur l’humain.
Après les menaces de fermeture de Moulay Hafid Elalamy, les responsables de la chaîne de distribution discount turque BIM, répondent. Une bataille médiatique qui précède la révision de l’accord de libre-échange entre les deux pays.
Le très ambitieux programme d’appui et de financement aux TPE et PME vient d’entrer en vigueur au Maroc et attire l’intérêt des porteurs de projet. Mais ces derniers ne savent pas toujours à quel interlocuteur s’adresser. Jeune Afrique a fait le point.
Tancé par le roi Mohammed VI dans un discours, en octobre 2019, le secteur financier lance un vaste programme consacré au soutien de l’entrepreneuriat. Le ministre de l’Économie et des Finances du royaume nous en explique la genèse, les contours et les objectifs.
Heetch, le leader du VTC au Maroc, a saisi le Conseil de la concurrence pour statuer sur la légalité des activités de Careem, à qui elle reproche d’exercer sans que ses chauffeurs n’aient d’agrément du ministère de l’Intérieur.
Plus de cinq ans après sa première comparution devant le procureur, Anas Houir Alami a écopé d’une peine de prison ferme pour les irrégularités du projet immobilier « Madinat Badès », à Al Hoceima. Tout comme Mohamed Ali Ghannam, ancien patron de la Compagnie générale immobilière (CGI).
Le groupe immobilier marocain Douja Promotion groupe Addoha (Addoha) boucle une opération d’augmentation de capital dans la douleur. La famille Sefrioui, principal actionnaire, a dû mettre la main à la poche, ce alors que les investisseurs semblent demeurer réticents à cette valeur.
Le marché monétique marocain restait dominé par les retraits d’espèces en 2019. Si la circulation fiduciaire semble de nature à davantage rassurer la population dans le royaume, l’utilisation des paiements sur TPE résiste bien.
Démocratie interne, conjoncture nationale, secteurs en difficulté ou en devenir, relations avec le gouvernement, Zleca… Le nouveau patron de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) fait le point sur son programme et sur les grands défis qui vont jalonner son mandat.
Selon les analystes de l’entreprise marocaine Dataprotect, les banques subsahariennes sont particulièrement vulnérables aux cyberattaques (fraudes à la carte bancaire, hameçonnage, intrusions…), notamment faute d’investissements dans la cybersécurité et de personnel qualifié.
Après avoir bouclé l’année 2019 sur une franche progression, la Bourse de Casablanca a entamé une année 2020 sous de bons auspices, avec l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation de l’Autorité marocaine du marché des capitaux et des taux bas.
Le crowdfunding arrive bientôt au Maroc. Les députés y ont commencé l’examen d’un projet de loi qui doit encadrer le financement participatif. Ce nouveau moyen de financement doit s’ouvrir à des épargnants modestes et connectés.
En poste depuis bientôt dix-sept ans, le gouverneur de la banque centrale du Maroc est connu pour son franc-parler et son conservatisme. Retour sur le parcours du « gardien du temple ».
Casablanca Finance City ne pourra plus compter sur son régime fiscal incitatif pour attirer les groupes internationaux. La nouvelle loi de finances écarte toutes les dispositions susceptibles de coûter au Maroc de rester sur la liste grise européenne des paradis fiscaux.
La métropole chérifienne est un chantier à ciel ouvert depuis 2015. Outre l’ouverture d’hôtels, l’offre immobilière pour les entreprises s’agrandit. Mais le manque de coordination des dirigeants publics freine la croissance de la Ville blanche.
Le hub pour investisseurs étrangers de Casablanca Finance City peut revendiquer un démarrage réussi, pour le premier de ce genre sur le continent. Mais la nouvelle loi de finances pourrait freiner la dynamique.