Le roi a nommé, le 17 novembre, Driss Guerraoui en tant que nouveau président du Conseil de la concurrence. Une mesure très attendue pour réactiver une institution en sommeil depuis cinq ans, alors que les sujets de manquent pas.
Fidèle à son modèle hybride, à mi-chemin entre banque de réseau et banque en ligne, l’établissement subit des pertes structurelles liées à son déploiement dans le royaume.
La ligne à grande vitesse marocaine est enfin opérationnelle. Le président français Emmanuel Macron a fait le déplacement au Maroc jeudi pour l’inaugurer en compagnie du roi Mohammed VI.
Porté comme le projet phare de la relation historique qui lie le Maroc à la France, la Ligne à grande vitesse qui relie Tanger à Casablanca a été inaugurée le 15 novembre. Le président français Emmanuel Macron était présent aux côtés du souverain marocain pour cette cérémonie.
La banque centrale Bank Al-Maghrib et l’Agence nationale de régulation des télécommunications (ANRT) ont annoncé le 13 novembre le lancement officiel des solutions de paiement mobile au Maroc. Mais les banques et les opérateurs doivent encore convaincre les commerçants.
La marque de vêtements féminins ne cesse de conquérir des marchés. Les clés de sa réussite : le choix de produire dans le royaume et une grande réactivité aux tendances.
L’Indice Ibrahim de la gouvernance africaine (IIAG) pour l’année 2018 a été rendu public ce 29 octobre. La fondation, qui consacre un trio de tête composé de l’Île Maurice, des Seychelles et du Cap Vert, pointe une tendance à l’amélioration de la gouvernance, mais souligne l’irrégularité de ces progrès.
Pour sa première loi de finances, Mohamed Benchaâboun a prévu de céder des participations de l’État dans plusieurs sociétés… sans pour autant avancer le nom des établissements concernés.
Après avoir offert deux belles années (2016 et 2017) aux investisseurs, la Bourse de Casablanca montre des signes d’essoufflement et se dirige vers une clôture dans le rouge de l’exercice actuel.
Entre 2018 et 2027, OCP devra réaliser un effort financier sans précédent pour mettre à exécution son plan de développement. Environ 100 milliards de dirhams (9,1 milliards d’euros) seront investis. Pour y parvenir, l’Office se tournera vers différents bailleurs et continuera de recourir aux emprunts obligataires dont les taux sont en baisse pour ne pas assécher sa trésorerie.
Historiquement présent sur le continent dans le domaine de l’audit, Deloitte cherche désormais à y développer ses activités de conseil. Jeune Afrique a rencontré son PDG France et Afrique francophone, Sami Rahal.
Après trois années difficiles, le promoteur marocain a su adapter sa stratégie. Ahmed Ammor, son directeur général, explique les raisons de ce redressement et sa feuille de route pour les prochaines années.
OilLibya veut renouveler son image sur le continent et se positionner comme l’un des principaux acteurs panafricains du secteur des hydrocarbures. Pour marquer le coup, l’entreprise libyenne, qui vient de se rebaptiser OLA Energy, arbore également une nouvelle identité visuelle.
L’État va émettre un milliard de dirhams de sukuks pour permettre aux banques participatives de s’endetter et de se refinancer. L’État se porte garant à hauteur de 1,1 milliard de dirhams.
Face à l’évolution des besoins des collectivités locales et de leur mode de gestion, le marocain FEC, spécialisé dans l’octroi de crédits aux communes, est en pleine mutation.
Le fonds panafricain dédié aux infrastructures Africa 50 a inauguré vendredi ses nouveaux locaux à la Marina de Casablanca. Une occasion de faire le point sur les investissements et l’actionnariat de la plateforme panafricaine.
Le pilier de la stratégie africaine du groupe français baisse ses prix pour retrouver sa clientèle. En cas d’échec, son activité dans le royaume chérifien pourrait être menacée.
Cela fait plus de trois ans que le gouvernement marocain a mis en place le statut d’auto-entrepreneur. Un dispositif rencontrant un grand succès mais qui, de l’avis des concernés, doit encore faire l’objet d’ajustements.
Plus de quatre mois après le lancement de la campagne de boycott qui a visé trois marques au Maroc, dont Centrale Danone, l’entreprise a annoncé le 5 septembre une baisse du prix du lait dans les rayons. Objectif : retrouver les volumes des ventes perdues.
Casablanca a confié une partie de ses projets à sept sociétés de développement local. Un nouveau mode de gouvernance, également expérimenté à Rabat et à Tanger, qui a les avantages de la souplesse, mais pèche par manque de transparence.
A Alger et Rabat, la dette chinoise est un non-sujet. Pékin figure pourtant parmi les partenaires sur lesquels misent – pour des raisons différentes – les deux États maghrébins.
Outre quatre affaires, restées secrètes, qui ont été transférées au ministère de la Justice, la Cour des comptes du Maroc relève dans son dernier rapport divers manquements dans la gestion de plusieurs organismes publics.
Nommé contre toute attente ministre de l’Économie et des Finances, ce banquier va devoir porter les ambitions de Mohammed VI sans déséquilibrer les comptes du Maroc.
Des passagers américains conduits à l’hôtel tandis que leurs homologues libériens restaient cantonnés à l’aéroport : la vidéo montrant la colère d’un ministre libérien suite à l’annulation de son vol par la RAM a fait le tour du web. Mais la compagnie réfute toute allégation de traitement discriminatoire.
Quatre mois après le lancement de la campagne de boycott qui a visé trois marques au Maroc, Centrale Danone s’apprête à vendre son lait pasteurisé sans faire le moindre gain, dès septembre prochain.
L’Association marocaine des pilotes de ligne (AMPL) dément avoir signé un accord avec la direction de Royal Air Maroc, et assure vouloir organiser un référendum auprès de ses membres avant de se prononcer sur les propositions de la compagnie marocaine.
Le premier est l’un des leaders de la bande FM au Maroc, le second a choisi une diffusion sur internet. Mais tous deux mènent une bataille pour séduire les 15-30, une tranche qui représente près de 30% de la population marocaine.
Malgré l’accord de libre-échange opérationnel depuis 2006 entre les deux pays, aucun cadre réglementaire ne régissait jusque-là l’importation de volailles américaines au Maroc. Une lacune désormais corrigée, même si cette nouvelle concurrence potentielle inquiète peu les producteurs locaux.