Le gouvernement marocain a fait savoir qu’il rejetait la proposition d’aide de l’Algérie, qui s’apprêtait à envoyer trois avions, avec à leur bord des secouristes et du matériel destiné aux sinistrés.
Les autorités algériennes ont annoncé un plan d’aide d’urgence pour leur voisin marocain, proposant de dépêcher une équipe de 80 secouristes spécialisés, ainsi que des aides matérielles. Au Maroc, le bilan officiel approche désormais la barre des 2 500 morts.
L’ancien ministre algérien de la Défense Khaled Nezzar sera jugé en Suisse pour des faits présumés de torture, détentions arbitraires et assassinats entre 1992 et 1994. Le tribunal pénal fédéral devra statuer sur la date du procès.
Si le rejet de la candidature algérienne était attendu, il n’en constitue pas moins un échec pour le président Tebboune, qui avait fait de l’adhésion de son pays aux Brics une priorité.
L’état-major des armées françaises dément l’information de la radio d’État algérienne selon laquelle Paris aurait introduit une demande de survol de l’espace aérien algérien pour ses avions en partance vers le Niger.
Un an après celle d’Emmanuel Macron en Algérie, la visite d’État d’Abdelmadjid Tebboune en France est toujours en stand-by. D’autant que le président algérien pose des conditions pas vraiment de nature à détendre l’atmosphère.
Plus qu’un club de football – pourtant le plus titré d’Algérie –, la Jeunesse sportive de Kabylie a su incarner les aspirations d’autonomie ou d’indépendance du peuple kabyle. Au point d’agacer durablement le pouvoir central.
Après avoir condamné le putsch contre le président Mohamed Bazoum, l’Algérie réitère son soutien à ce dernier tout en mettant en garde contre une opération de force pour déloger les putschistes.
Alors qu’Israël vient de reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara et que le Premier ministre Benyamin Netanyahou est invité en visite officielle au Maroc, Jeune Afrique revient sur un évènement qui, en 1999, aurait pu changer la physionomie des relations israélo-arabes.
Longtemps omniprésentes en Algérie, les entreprises chinoises y sont moins actives. La visite d’État du président algérien à Pékin et Shenzhen vise en partie à redynamiser cette coopération économique.
Le mouvement séparatiste kabyle, qualifié de terroriste par les autorités algériennes, s’est attaché les services d’une avocate américaine proche du Maroc pour plaider sa cause aux États-Unis.
Vingt-cinq ans après l’assassinat du chanteur kabyle, et malgré un procès en 2011 ayant débouché sur deux condamnations, les circonstances de cette « exécution », tout comme l’identité de ses commanditaires, demeurent un mystère
Près de vingt mois après leur nomination, cinq des sept envoyés spéciaux chargés de la diplomatie algérienne viennent d’être relevés de leurs fonctions par la présidence.
Ancien ambassadeur brutalement relevé de ses fonctions en 2016 après un coup de sang de Saïd Bouteflika, ce diplomate de carrière a été nommé représentant de l’Algérie à l’ONU pour défendre, entre autres, la « cause sahraouie ».
Initialement prévue les 2 et 3 mai, la visite d’État du président algérien Abdelmadjid Tebboune en France aura finalement lieu durant la deuxième quinzaine de juin.
Les membres de la commission mixte franco-algérienne chargée de plancher sur les archives de la colonisation se sont parlés, le 19 avril, pour la première fois.
Initialement prévue du mardi 2 au mercredi 3 mai, la visite d’État du président algérien a été reportée à la demande du palais d’El-Mouradia. Les Algériens estiment que les conditions ne sont pas réunies pour la maintenir à ces dates.
Dans sa récente interview accordée à la chaîne Al-Jazeera, le chef de l’État affirmait que l’Espagne était prête à restituer à l’Algérie trois hôtels appartenant à l’ancien homme d’affaires condamné pour corruption et blanchiment. La réalité est plus complexe.
Dans le tome III de ses Mémoires, l’ancien opposant et député social-démocrate Saïd Sadi nous replonge dans une période charnière de l’histoire contemporaine de l’Algérie.
Le lauréat du prix Goncourt 2015 du premier roman revient sur son dialogue avec Emmanuel Macron et livre une analyse aiguisée de la relation entre Paris et Alger, mais aussi de la situation en Algérie.
La justice vénézuélienne a jugé irrecevable la demande d’extradition vers l’Algérie d’El Wafi Ould Abbès, interpellé à Caracas en juin 2021 sur la base d’un mandat d’arrêt international. Mais le fils de l’ex-patron du FLN sera jugé pour les mêmes faits au Venezuela.
Rappelé à Alger pour consultations en février suite à l’affaire Amira Bouraoui, Saïd Moussi a regagné son poste à l’ambassade dans un contexte de détente entre les deux pays.
Abdelmadjid Tebboune et Emmanuel Macron ont échangé par téléphone en fin de semaine dernière, mettant fin au coup de froid diplomatique provoqué par l’affaire Bouraoui. Un temps menacée, la visite d’État à Paris du président Tebboune est confirmée pour début mai.
Près d’un quart de siècle après en avoir été écarté par Bouteflika, Ahmed Attaf revient à la tête du ministère des Affaires étrangères. La nomination de ce diplomate de métier, aux compétences solides et à l’entregent certain, est largement saluée, en Algérie comme à l’international.
Le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra quitte ses fonctions à la faveur du remaniement opéré par le président Abdelmadjid Tebboune. Il est remplacé par Ahmed Attaf, ancien chef de la diplomatie dans les années 1990.
Depuis quelques jours, les spéculations vont bon train sur le sort du ministre algérien des Affaires étrangères, qui devrait être précisé à la faveur du remaniement attendu dans les tout prochains jours.
Condamnée et interdite de sortie du territoire en Algérie, la militante franco-algérienne a réussi à rejoindre la France début février, après un passage par la Tunisie, provoquant une crise diplomatique entre Paris et Alger qui, plus d’un mois plus tard, empoisonne encore les relations entre les deux pays. Elle raconte son périple.
En Algérie, trois anciens responsables liés au ministère de la Communication et à l’agence chargée d’attribuer les publicités de l’État font l’objet de poursuites. Ils sont soupçonnés d’avoir utilisé leur important budget pour favoriser des médias proches du pouvoir à la fin de l’ère Bouteflika.
Accusé d’avoir engagé un cabinet de lobbying américain, l’ex-cacique du régime Bouteflika affirme ne pas connaitre l’existence de ce contrat. Les documents consultés par JA indiquent qu’il n’a effectué aucun versement, mais que ledit contrat court toujours…