Férid Boughedir est un réalisateur tunisien de cinéma. Il est également critique et historien du cinéma, dirigeant de festivals et de colloques cinématographiques.
Pour « Chronique des années de braise », le réalisateur algérien obtenait la récompense suprême du Festival de Cannes. Le Tunisien Férid Boughedir, lui-même cinéaste, s’en réjouissait, à l’époque, dans JA.
Après le décès, le 16 août dernier, du producteur et critique Néjib Ayed – directeur notamment des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) – , victime d’une crise cardiaque à l’âge de 65 ans, le cinéaste tunisien Férid Boughedir salue sa mémoire.
La plus grande manifestation cinématographique mondiale a sacré cette année « Atlantique », de Mati Diop, et « Les Misérables », de Ladj Ly. Un remarquable doublé jamais vu en ce qui concerne les cinéastes originaires du continent africain.
Le réalisateur de « Parfum de printemps » livre son sentiment sur les films des trois réalisatrices arabes en lice dans les différentes sélections du Festival de Cannes, qui se termine samedi 19 mai.
L’affaire avait fait grand bruit dans la Tunisie post-révolution de 2011 : la jeune Myriam, violée par des policiers lors d’un contrôle nocturne, avait décidé de lutter jusqu’au bout, quel qu’en soit le prix, pour faire condamner ses bourreaux.
Trente-huit ans après l’Algérien Mohamed Lakhdar-Hamina, Abdellatif Kechiche remporte la prestigieuse Palme du Festival de Cannes avec « La Vie d’Adèle ».