Grogne sociale, négociations avec l’exécutif, solutions préconisées face à la crise… Le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi réaffirme la volonté de la centrale de se poser en force de proposition.
Après Al Joumhouri et Afek Tounes, c’est au tour du parti de Mohsen Marzouk de se désolidariser du gouvernement de Youssef Chahed. Il demande un changement de gouvernement et la réforme de la Constitution pour réviser la répartition des pouvoirs.
Industriel dans le secteur des conserves de fruits et légumes, le nouveau patron des patrons tunisien élu le 17 janvier a occupé presque tous les postes au sein de la fédération patronale.
Dans un contexte social agité, l’Utica tient ce mercredi son Congrès national en vue de remanier ses structures et resserrer ses rangs. Son vice-président Hichem Elloumi part favori.
Tunis Food Company (TFC) a ouvert mardi son premier restaurant KFC à Tunis et prévoit de créer cinq autres points de vente dans la capitale d’ici la fin de l’année 2018.
À l’appel du collectif « Fech Nestanew », ils étaient plus d’un millier ce vendredi à Tunis pour protester contre la vie chère en Tunisie. Une vague de protestation qui s’est étendue dans plusieurs grandes villes.
Les manifestations qui se multiplient contre l’augmentation des prix, suite à la loi de finances 2018, ont tourné à l’affrontement dans plusieurs villes du pays. Un homme a succombé à l’inhalation des gaz lacrymogènes à Tébourba. Un scénario qui rappelle les événements ayant conduit à la chute du régime de Ben Ali.
Rien ne va plus entre les deux principales composantes politiques du paysage politique tunisien. À la veille des municipales, prévues le 6 mai prochain, le parti d’Hafedh Caïd Essebsi a déclaré que les islamistes seront désormais ses concurrents et non ses alliés.
Les Tunisiens devront débourser près de 300 dinars par mois (environ 100 euros) et par foyer pour faire face aux hausses des prix. Une situation provoquée par l’entrée en vigueur de la loi de finance 2018, qui prévoyait une importante majoration de la TVA.
L’interdiction d’accès des Tunisiennes aux vols d’Emirates airways et au territoire émirati provoque une vive émotion en Tunisie. À l’origine, la politique de Tunis envers les islamistes et le dossier libyen.
La Fédération tunisienne du textile et de l’habillement (FTTH), crée en mai 2017 après une brouille au sein de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), fixe ses objectifs : améliorer la compétitivité, promouvoir la « coresponsabilité » avec les syndicats de travailleurs et redorer une image ternie.
Pas toujours aux postes les plus puissants au sein du pouvoir, ils sont nombreux à exercer une influence non négligeable sur la vie politique tunisienne de part leur position, leur caractère leur réseau ou leur héritage.
Pour consolider leur assise ou gagner des soutiens, les formations politiques tunisiennes actionnent des leviers régionaux, financiers, sportifs… Enquête sur des réseaux, des lobbies, aussi multiformes qu’incontournables.
Le sulfureux blogueur, proche de l’islamisme radical, est désormais député de la circonscription d’Allemagne. Une élection qui suscite de nombreuses interrogations.
Le parti de Yassine Brahim a annoncé samedi son retrait du gouvernement et de l’accord de Carthage. Une décision qui ne fait pas l’unanimité parmi les cadres dirigeants du parti.
Pour la quatrième fois, le premier scrutin local depuis la chute de Zine El Abidine Ben Ali a été reporté. Les trois partis au pouvoir évoquent des contraintes techniques et la non-consultation des mouvements politiques.
Malgré l’élection de son nouveau président et la publication du calendrier des municipales, l’Instance supérieure indépendante pour les élections peine à se mettre en ordre de marche.
Sept ans après le début des négociations entre Tunis et Bruxelles, la convention sur l’Open Sky tunisien a été signée ce lundi, ouvrant la voie à une augmentation du trafic et de la concurrence dans le ciel tunisien. Seul l’aéroport international de Tunis-Carthage reste pendant cinq ans la chasse gardée de Tunisair, la compagnie nationale en grande difficulté.
Le processus engagé après la révolution de 2011 est allé bon train jusqu’en 2015, puis s’est essoufflé. Le cap sur la démocratie et les réformes – politiques, sociales, économiques – est tenu. Mais, sans réelle boussole, difficile d’avancer.
L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) ne devrait pas avoir de place dans le paysage politique tunisien, elle y tient cependant une position… « centrale ».
Le pays a vu affluer sur son territoire près de 1 million de personnes fuyant la Libye au cours de la seule année 2011. Pourtant, depuis, il n’a pas jugé nécessaire de prévoir un statut pour les réfugiés et demandeurs d’asile.
Ni désenchantée ni enchantée, la génération des 25-35 ans est avide de vivre mieux. Diplômés en quête d’emploi, conseillers en stratégie politique ou culturelle, ils sont bien résolus à changer le pays.
Dans la plus chic banlieue de la capitale, le tunisien Mabrouk et le canadien Four Seasons ouvriront, le 11 décembre, le premier cinq-étoiles de l’enseigne dans le pays.