Branle-bas de combat à Tunis, la ville s’apprête à recevoir, vendredi, de nombreux chefs d’État et des personnalités internationales pour célébrer l’adoption de la nouvelle Constitution.
À l’approche des scrutins législatif et présidentiel, prévus dans le courant de l’année, les états-majors des principales formations politiques tunisiennes affûtent leur stratégie… et comptent leurs sous.
Kaïs Saïed, vice-président de l’Association tunisienne de droit constitutionnel et professeur universitaire, se prononce en homme libre et sans concessions sur la nouvelle Constitution tunisienne, promulguée le 26 janvier.
En annonçant la formation de son gouvernement, dimanche soir tard, le nouveau Premier ministre Mehdi Jomâa surmonte un obstacle encore considéré infranchissable la veille. Et fait souffler un vent d’espoir sur la Tunisie.
La première étape pour l’adoption de la nouvelle constitution tunisienne vient de s’achever. Si elle est définitivement adoptée à l’issue d’un vote prévu samedi, la mise en oeuvre de la nouvelle loi fondamentale ne sera pas pour autant immédiate. Explications.
Nouveau secrétaire général du Parti démocrate italien, Matteo Renzi entend, très vite, mettre au rancart les caciques de sa formation, refonder la gauche et rénover la politique de son pays. Vaste programme !
Trois ans après le soulèvement révolutionnaire de janvier 2011, de nombreux troubles ont éclaté en Tunisie. Mardi et mercredi, des grèves et des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont éclaté à Thala, Sfax, Sidi Bouzid, El Guettar et Kasserine.
Moment solennel en Tunisie : l’Assemblée nationale constituante (ANC) a entamé la ratification de la Constitution, en adoptant le préambule et 15 articles dans la nuit de samedi à dimanche.
Certains sont joyeux, d’autres moins. Certains sont attendus, d’autres donnent lieu à un véritable suspense. Panorama des événements qui feront l’actualité en 2014.
Au terme de cinquante jours d’interminables tractations, le Dialogue national a désigné son champion. C’est à Mehdi Jomâa, ministre de l’Industrie sortant, qu’il reviendra de former et de conduire le nouveau gouvernement.
Grâce à l’accord sur un nouveau chef de gouvernement, le dialogue national semble tenir ses engagements – même s’il n’a pas respecté son agenda initial. Mais quels que soient les retards, ils ne sont rien au regard des enjeux d’une sortie de crise pour la Tunisie. Décryptage.
Destourien historique, en retrait depuis près de vingt-cinq ans, le premier chef de gouvernement de Ben Ali, Hédi Baccouche, sort de sa réserve. Et rappelle quelques vérités élémentaires sur l’histoire et la transition en Tunisie. Une interview parue dans J.A. n° 2762.
Samedi 14 à midi, l’ultimatum donné aux partis politiques par le quartet conduisant le dialogue national (UGTT, Utica, LTDH et Ordre des avocats) arrive à échéance. Soit la Tunisie a un nouveau chef de gouvernement, soit elle demeure dans l’impasse.
Grandes écoles, épreuves de terrain, fonctions dans divers services… L’accession au haut commandement dans l’armée tunisienne est l’aboutissement d’un itinéraire long d’une vingtaine d’années.
Les militaires tunisiens assurent des missions de protection également dans le domaine civil. Ils sont bien souvent le dernier recours en cas de catastrophe.
Sévèrement réprimé, l’usage de stupéfiants est l’une des causes principales de la surpopulation carcérale en Tunisie. Au point que certains suggèrent de dépénaliser la consommation de haschich.
Fille d’un immigré marocain et lobbyiste accomplie, Francesca Chaouqui est la première femme à siéger au sein de la nouvelle et influente commission des finances du Vatican.
Confrontés au débarquement incessant des clandestins, aux naufrages et aux drames en tout genre, bien des élus auraient baissé les bras. Mais le maire de Lampedusa, Giuseppina Maria Nicolini, est d’une autre trempe !
Si les récentes opérations kamikazes contre des objectifs civils marquent un changement de stratégie des jihadistes, l’extrême jeunesse des candidats au « martyre » révèle un profond malaise sur fond de misère sociale.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Mustapha Kamel Nabli.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Haythem el-Mekki.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Kaïs Saïed.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Oum Zied.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, Sofiane Ben Farhat.