À Londres, une famille pas comme les autres vivra pleinement une passion partagée. Porte-étendard de l’escrime féminine tunisienne, les Besbes comptent bien s’imposer aux JO 2012.
La plupart des musulmans, qu’ils soient ou non pratiquants, ont entamé le 20 juillet trente longs jours de privations. En Tunisie, comme en Algérie et au Maroc, le respect des us et interdits liés à ce mois sacré est presque aussi culturel que cultuel. À quelques différences près. Notamment au regard des non-jeûneurs.
La vente de 25% de Tunisiana pourrait rapporter de 400 à 500 millions d’euros. Mais les parts de Sakhr el-Materi confisquées par l’État ayant été achetées à crédit, ce sont les banques qui vont toucher cette somme.
Très attendu, le 9e congrès d’Ennahdha a joué les prolongations mais n’a pas permis la redistribution des cartes tant annoncée. Il a juste fait la synthèse des objectifs que le mouvement islamiste présente depuis sa légalisation et son arrivée au pouvoir.
La BAD, accompagnée de partenaires privés, a mis en place une initiative destinée à aider la création d’entreprise en Tunisie en allouant des financements pouvant aller jusqu’à 15 000 euros.
Le parti islamiste au pouvoir en Tunisie, Ennahdha, tient son premier congrès hors de clandestinité, du 12 au 15 juillet à Tunis. L’occasion de clarifier sa ligne politique et son projet de société pour le pays.
À 46 ans, cet homme discret, redoutable défenseur des droits de l’homme, ne déroge pas à ses principes. Élu du Congrès pour la République (CPR) à l’Assemblée nationale constituante tunisienne, Mohamed Abbou refuse le cumul des fonctions et quitte son fauteuil pour celui de ministre chargé de la Réforme administrative. Fidèle du président Marzouki, cet avocat, père de 3 enfants, est le premier ministre à afficher son désaccord avec le gouvernement Jebali dont il a démissionné.
Le groupe agroalimentaire saoudien Savola a signé un accord de principe avec l’État tunisien. Moyennant un investissement de 400 millions d’euros, il ferait son entrée dans le sucre.
Les vacances peu discrètes de Jean-Marie et Jany Le Pen en Tunisie ont suscité l’indignation de nombreux commentateurs. Et même de certains acteurs politiques.
Néji Mhiri, fondateur du groupe spécialisé dans les meubles Meublatex, a annoncé lui-même la suspension des activités. En cause : les grèves à répétition.
Face aux spectaculaires et violents débordements des extrémistes religieux, le gouvernement tergiverse, tandis que la population, déjà éprouvée par les difficultés économiques, est à cran.
Slogans antisémites, profanations de lieux de culte, propos homophobes, racisme anti-Noirs… Le subtil mélange de tolérance et de modération qui cimentait la mosaïque tunisienne est menacé.
Affecté par l’arrêt de ses activités en Libye, Poulina veut voir plus loin : il investit au Maroc ainsi qu’au Sénégal, considéré comme un tremplin vers le sud du Sahara.
À quelques semaines de son congrès, le mouvement islamiste tunisien Ennahdha est soupçonné par sa base de vouloir faire du neuf avec du vieux en privilégiant ses anciens chefs, tandis qu’une partie de l’opinion lui impute la panne socioéconomique du pays et la montée du salafisme. Le parti de Rached Ghannouchi réussira-t-il enfin à faire sa mue en épousant définitivement la modernité ?
Quand elle a pris la tête de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, en 2011, peu croyaient en elle. Après avoir assuré la transition durant un an, elle remet son mandat en jeu fin juin.
Pilier de l’industrie automobile de Tunisie, le secteur du câblage a été secoué par la montée des revendications sociales. Crise mondiale oblige, il risque en outre de réduire la voilure cette année.
Dans un contexte politique aussi complexe que confus et un environnement socioéconomique encore instable, la société civile tunisienne émerge, prend des initiatives et montre qu’elle est capable de mobiliser l’opinion.
Depuis l’échec des formations modernistes lors des élections à l’Assemblée constituante tunisienne d’octobre 2011, Ahmed Néjib Chebbi, le fondateur du Parti démocrate progressiste (PDP), se faisait discret.
Les bouleversements politiques en Tunisie et la situation économique difficile en Europe ont mis à nu les faiblesses du secteur touristique. Depuis la révolution, les opérateurs peinent à définir une nouvelle stratégie, hésitant entre l’offre de masse et le très haut de gamme.
Après le tourisme et la finance, les grands argentiers du Golfe se concentrent sur l’immobilier tunisien. En trois ans, 150 000 habitations doivent être construites.
Après le tourisme et la finance, les grands argentiers du Golfe se concentrent sur l’immobilier tunisien. En trois ans, 150 000 habitations doivent être construites.
Les bouleversements politiques dans le pays et la situation économique difficile en Europe ont mis à nu les faiblesses du secteur. Les opérateurs peinent à définir une nouvelle stratégie, hésitant entre l’offre de masse et le très haut de gamme.