Doté d’une vraie stratégie en matière de renouvelable, l’État a fait de l’entreprise publique Masen son bras armé. Objectif : couvrir plus de la moitié des besoins électriques du pays en 2030.
Lancée sur internet il y a six semaines, une campagne de boycott contre trois marques tourne à la croisade contre des capitaines d’industrie. Et prend une dimension éminemment politique.
Ce pionnier des marchés vient d’introduire sa première filiale sur la place marocaine de Casablanca. Retour sur le parcours mouvementé de cet hyperactif, de la banque d’affaires à l’industrie en passant par la politique.
Inhibé face au Palais, confronté à des crises à répétition avec ses alliés et à une contestation sociale larvée, le chef du gouvernement marocain, Saadeddine El Othmani, peine à imprimer sa marque. Et tente de colmater les brèches comme il peut.
Accusé de vouloir imposer un de ses fidèles à sa place, le chef du premier parti d’opposition fait face à une fronde interne qui entend contrer ses desseins supposés lors du prochain Conseil national, prévu le 26 mai. La bataille s’annonce rude.
À 15 ans, le prince héritier est de plus en plus présent sur la scène publique et semble déjà très à l’aise avec son destin royal. Comment Mohammed VI le prépare-t-il à lui succéder ? Quels sont les traits de sa personnalité ? Éléments de réponse.
La famille alaouite est comme toutes les familles marocaines. Quoi qu’il s’y passe, elle reste sacrée, elle est l’ultime pilier. C’est encore plus vrai pour la royauté.
C’est la fin d’une des procédures du dossier tentaculaire de liquidation judiciaire de la raffinerie marocaine. Le tribunal a nommé un nouveau syndic en remplacement de Mohamed El Krimi.
Le 16 mai 2003, la plus grande ville du Maroc a été frappée par une série d’explosions dans le sillage du 11 septembre. Bilan : 45 morts. Depuis, le royaume chérifien mène une guerre contre le terrorisme sur plusieurs fronts.
Moulay Hafid Elalamy, titulaire du portefeuille de l’Industrie et du Commerce, exige une investigation au sujet de prétendus privilèges accordés à son groupe, Saham.
Sahara, Iran, Algérie, Polisario, Union africaine et politique économique… Le ministre marocain des Affaires étrangères explique la vision du roi Mohammed VI sur ces sujets brûlants.
Plébiscité président du Conseil national du troisième parti politique au Maroc, ce discret sahraoui explique les circonstances de son élection et le rôle de réconciliateur qu’il entend jouer au sein d’une formation qui a connu bien des déchirements.
Après de multiples retouches, une nouvelle résolution concernant le conflit du Sahara devrait être soumise au vote du Conseil de sécurité d’ici lundi 30 avril, au plus tard. Le texte remanié prévoit un prolongement du mandat de la mission onusienne de six mois seulement et appelle à une reprise de négociation d’ici la fin de l’année.
Même avec une superficie cultivée réduite, la récolte de céréales dans les champs marocains devrait frôler les 100 millions de quintaux cette année, soit bien plus que les prévisions du projet de budget. Conséquence : le taux de croissance devrait être supérieur aux 3,2 % attendus.
Le Conseil de sécurité des nations unies doit se pencher, mercredi 25 avril, sur un projet de résolution sur le Sahara occidental porté par l’Espagne, la France, le Royaume-Uni et les États-Unis. Rabat est à l’offensive diplomatique.
Nominations à de hautes fonctions, adoptions de projets de loi, présentation de la vision sur la réforme des Centres régionaux d’investissement… Mohammed VI a réuni ses ministres jeudi, quelques jours seulement après son retour au pays, suite à sa période de convalescence en France.
À l’ouest, Tanger, la perle du détroit, et sa petite sœur, Tétouan, riches et adulées. À l’est, Al Hoceima, pauvre et marginalisée. Si toutes trois forment désormais une seule région, elles n’ont clairement pas connu le même destin. Comment les unifier ?
En changeant en cours de route les règles d’attribution de l’organisation du Mondial 2026, la Fifa a lourdement handicapé la candidature du royaume. Qui n’entend pas se laisser faire.
Si le Maroc est officiellement candidat à l’organisation du Mondial 2026, les dirigeants du football africain sont encore rares à avoir soutenu son dossier. Les Marocains espèrent pourtant pas moins de 49 voix sur les 53 possibles…
La Confédération patronale marocaine, qui publie un rapport choc sur l’ampleur du secteur informel dans le royaume, présente plusieurs pistes pour intégrer ce secteur à l’économie formelle. Synthèse.
La ligne à grande vitesse sur la ligne Tanger-Rabat-Casablanca doit entrer en service en juin 2018. L’ONCF en est à la phase de finalisation des offres commerciales.
Lamiae Benmakhlouf, directrice générale de la société de gestion du Technopark de Tanger, expose à Jeune Afrique les projets en cours, l’avancement des chantiers déjà lancés et les perspectives d’avenir dans le domaine de l’innovation à Tanger.
Cet ancien dirigeant du Rassemblement national des indépendants (RNI), qui a été plusieurs fois ministre, est le candidat surprise à la présidence du patronat marocain.
Mohammed VI a été parmi les premières personnalités à présenter ses condoléances à Laeticia Hallyday, après l’annonce du décès de son époux Johnny, en décembre dernier.