« La vraie amitié est celle qui n’a aucun secret. » Ainsi Ali Bongo Ondimba commente-t-il une photo de jeunesse en compagnie de Mohammed VI, qu’il a postée sur son compte Twitter.
C’est à l’occasion du tournage d’une émission spéciale de Sacrée soirée, en 1993, au Maroc, que Jamel Debbouze rencontra pour la première fois Mohammed VI, à l’époque encore prince héritier.
Après les accusations royales à l’encontre d’Alger, Rabat a déployé ses politiques pour montrer son intention de mettre fin aux incursions du Polisario dans les zones gérées par l’ONU. Parallèlement, des vidéos amateurs montrent un convoi militaire marocain faisant route vers le Sahara.
L’heure est à la distribution des dividendes pour les actionnaires des entreprises inscrites à la Bourse de Casablanca, qui se partagent cette année 22 milliards de dirhams. Classement.
Le fonds d’investissement appartenant à la famille royale change de raison sociale pour se nommer désormais Al Mada. Un changement qui marque l’aboutissement de la mutation profonde de ce holding, autrefois pilier de la place boursière casablancaise.
En trois ans, le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) est devenu une référence en matière de lutte contre les réseaux jihadistes. Qui sont les membres de ce service de choc ? À quels défis sont-ils confrontés ? Comment coopèrent-ils avec leurs homologues étrangers ? Enquête.
Situation dans le Sahel, collaboration avec l’Algérie, retour des combattants de Daesh, coordination avec les services étrangers… Le patron du BCIJ se met à table.
De Rabat à Tunis, les autorités s’efforcent de se tenir à égale distance de Doha et de Riyad, même si ces derniers ont marqué des points chez les uns ou chez les autres. Revue de détail.
Le 12 mai, celle qui a été la première femme présidente des chefs d’entreprise marocains quittera un poste qu’elle a profondément marqué de son empreinte.
La biographie autorisée du Premier ministre de l’alternance, Abderrahmane El Youssoufi, est parue le 8 mars, date du 94e anniversaire de cette figure du mouvement national. JA décrypte les confidences de celui qui a successivement côtoyé Mohammed V, Hassan II et Mohammed VI.
M’barek Bouderka, militant gauchiste de la première heure et compagnon de longue date de Abderrahmane El Youssoufi, a écrit la biographie du Premier ministre parue le 8 mars, dans laquelle il évoque certains secrets de la politique marocaine.
Le royaume du Maroc compte entre 4 et 5 millions d’irréductibles abstentionnistes. Comment les convaincre de s’inscrire ? Internet est une des pistes envisagées.
La branche assurance du groupe marocain est cédée au sud-africain Sanlam pour 1 milliard de dollars. Une manne qui sera réinjectée dans un fonds d’investissement au sein duquel le fils du fondateur, Moulay M’hamed Elalamy, jouera les premiers rôles.
La CGEM, le syndicat patronal marocain, prévoit une série de rencontres avec ses homologues des principaux pays d’Afrique de l’Ouest. Objectif : défendre le dossier d’adhésion marocaine au groupement régional de la Cedeao.
Au lendemain de la récupération du Sahara occidental en 1975, Rabat s’était appuyé sur une élite du cru pour défendre sa cause. Choyées par le Palais, ces figures locales continuent de servir d’atout diplomatique.
La famille Ould Errachid détient l’une des clés du Sahara marocain. Le plus en vue de la dynastie, Hamdi Ould Errachid est d’ailleurs le député-maire de la capitale, Laayoune. Retour sur une installation au pouvoir.
Famille historique du Sahara, les El Joumani étaient déjà puissants lors de l’occupation espagnole. Khatri Ould Sidi Saïd El Joumani fut l’une des figures tutélaires de ce clan dont l’un des membres siège en tant que député du Parti Authenticité et Modernité (PAM).
À travers Rassemblement national des indépendants (RNI) son parti historique, la famille Bouaida s’est imposée en politique aux portes du Sahara. Aujourd’hui c’est Mbarka Bouaida la dernière de la fratrie qui est la chef de file.
Très présente au sein de l’armée marocaine, la famille Tamek étend également son influence dans la sphère politique en maintenant le contrôle sur son fief d’Assa Zag, près de la frontière avec l’Algérie.
Les membres de la famille Derham, puissants économiquement, pèsent également dans le champs politique, où ils sont présents sous différentes couleurs. Mais le nom de Derham est aussi associé au récent scandale du « jeune à la Ferrari ».
L’arrivée du président providentiel Aziz Akhannouch, au lendemain des législatives de 2016, a permis au Rassemblement national des indépendants (RNI) de se métamorphoser. En 14 mois, ce dernier s’est doté de nouvelles structures, a cerné son positionnement politique et présente même une ébauche d’offre politique. Détails.
Comme Nicolas Sarkozy et François Hollande avant lui, Emmanuel Macron apprécie le Maroc et a noué des liens avec Mohammed VI et la famille royale. De quoi favoriser de bonnes relations avec le royaume, précieux allié pour les projets de Macron au niveau africain.
Candidat de l’Afrique à l’organisation de la Coupe du monde de football, le royaume a quatre mois pour s’imposer face au trio États-Unis - Canada - Mexique. Mise en place en janvier par Mohammed VI, la « dream team » du coach Elalamy est entrée en jeu. Atouts et handicaps d’un pari royal.
Fraîchement désigné, Moulay Hafid Elalamy, le président du comité de candidature déroule les grands axes de son plan de jeu. Objectif : faire la différence sans déperdition dans les investissements.
Pour son 94ème anniversaire, le 8 mars, celui qui a assuré la transition entre Hassan II et Mohammed VI a décidé de sortir du silence. Il devrait assister à une cérémonie à l’occasion de la publication d’un ouvrage racontant une partie des mémoires.
Moins de quatre mois après son installation par Mohammed VI à la tête du parquet général, Mohammed Abdennabaoui marque son territoire. Entre nouvelles nominations et circulaire à l’adresse des procureurs, il assure vouloir préserver l’indépendance de cette institution vis-à-vis de l’exécutif.
Mohammed VI ordonne l’élaboration d’une autre stratégie visant à mieux valoriser les legs de généreux donateurs en veillant à concilier contraintes religieuses et perspectives d’investissement.
En marge d’une conférence internationale autour de la croissance dans le monde arabe, qui avait lieu cette semaine à Marrakech, coorganisée par le FMI, la présidente de l’institution, accusée par les Tunisiens d’avoir poussé leur gouvernement à prendre des mesures d’austérité, a rencontré le Premier ministre du pays, Youssef Chahed.