Fidèle à sa réputation de visionnaire, le créateur de grandes enseignes, comme Palmeraie ou Dolidol, a organisé sa succession. En 2014, Abdelali Berrada Sounni a créé un family office qu’il préside lui-même et dont ses deux fils, Hicham et Saad, sont vice-présidents. Chacun d’eux détient les rênes de l’une des structures du groupe tout en occupant la seconde position dans l’autre.
Après avoir bondi dans le classement Doing Business, le gouvernement veut garder son élan, en concoctant une stratégie nationale pour l’amélioration du climat des affaires.
La piste terroriste est confirmée pour le meurtre des deux randonneuses scandinaves, survenu ce week-end dans la région de Marrakech. Les services de sécurité ont interpellé dans la Ville ocre les trois principaux suspects impliqués.
La nomination du nouveau médiateur du royaume, Mohamed Benalilou, jeudi 13 décembre, a donné un nouveau souffle à une institution chargée de promouvoir l’intermédiation entre les citoyens et l’administration. Zoom sur son fonctionnement.
Au lendemain des Dialogues atlantiques, organisés à Marrakech par le Policy Center for the New South (ex-OCP Policy Center), l’organisateur fait le bilan d’une septième édition qui a notamment connu la participation de Madeleine Albright, Amr Moussa ou encore Hubert Védrine.
Chantier du gazoduc Nigeria-Maroc, adhésion à la Cedeao et à la Zlec, avancement des projets… Le ministre marocain chargé de la Coopération africaine fait le point sur les principaux dossiers du royaume sur le continent.
Une des têtes d’affiches de la 7ème édition des Atlantic dialogues, organisée à Marrakech par le think tank Policy Center for the New South, n’est autre que l’ancien secrétaire général de la Ligue arabe et chef de la diplomatie égyptienne, Amr Moussa (82 ans). Entretien express.
La Confédération africaine de football a finalement retiré l’organisation de la prochaine Coupe d’Afrique des nations au Cameroun. Une aubaine pour le Maroc…
Sept ans après son accession à la tête du gouvernement, le PJD peine à s’imposer comme leader de l’exécutif. Contraint de composer avec une majorité hétéroclite et fragilisé par des dissensions internes, il en est réduit à laisser au Palais le soin de conduire les indispensables réformes.
Décidément, en politique, le fauteuil de zaïm semble si confortable qu’une fois dessus personne n’accepte de céder sa place. Ce qui n’est pas pour servir la démocratie.
Conduite par la princesse Astrid de Belgique, la sœur du roi Philippe, une délégation de plus 450 responsables et opérateurs économiques belges sillonne le Maroc. Au menu : inaugurations et signature d’accords.
Coût du service militaire obligatoire, budget des mosquées, pénurie de diplomates, agréments des anciens combattants… Jeune Afrique vous propose une sélection des chiffres les plus croustillants extraits des compte-rendus des débats des commissions parlementaires sur les budgets sectoriels.
Il dirige l’Office national des chemins de fer (ONCF) du Maroc depuis 2004 et a survécu à toutes les crises qu’a connues l’entreprise. Itinéraire d’un homme aux nerfs d’acier.
Le premier réassureur du Maroc, filiale de la Caisse de dépôt, poursuit son programme de développement en Afrique. Son directeur général, Youssef Fassi Fihri, place la diversification des risques au cœur de sa stratégie. Rencontre.
Le maintien au dernier moment de l’horaire d’été, au cours d’un Conseil de gouvernement exceptionnel tenu fin octobre, suscite la colère des écoliers. L’exécutif, qui a du mal à remettre les pendules à l’heure, crie à l’instrumentalisation des élèves.
Trois ans après son lancement, le « Nouveau Modèle de développement des provinces du Sud » prend forme. Un programme sur lequel Rabat entend s’appuyer pour faire prévaloir son approche de la question sahraouie.
Le nouveau patron de la banque marocaine avait contribué aux côtés de son prédécesseur au développement de ses activités panafricaines. Et compte bien poursuivre dans cette voie.
Les biens du milliardaire saoudien Mohamed Al-Amoudi, actionnaire principal de la raffinerie marocaine, sont désormais concernés par le processus de liquidation judiciaire qui la vise. D’autres administrateurs de la compagnie ont été sanctionnés.
Le chef du gouvernement marocain accorde ce 1er novembre un entretien télévisé aux chaînes Al Aoula et Medi1 TV. La chaîne marocaine 2M, qui a toujours eu maille à partir avec son parti, a quant à elle été tout simplement écartée. Une manière d’esquiver les questions qui dérangent ?
Le leader de la protestation rifaine de 2017 n’a finalement pas remporté le prestigieux prix, décerné au réalisateur ukrainien Oleg Sentsov. Mais pour ses proches, sa place de finaliste est déjà une reconnaissance de « l’injustice » qu’il subit.
Adopté mercredi 10 octobre en Conseil des ministres, le projet de budget devrait être soumis la semaine prochaine au Parlement marocain. Un texte qui met le paquet sur l’accompagnement des politiques sociales.
Un an après son élection, le nouveau patron de l’Istiqlal a déjà permis au parti de la balance de retrouver son dynamisme. Bilan d’étape de l’héritier d’Allal El Fassi.
Coopération judiciaire avec la France, indépendance de la magistrature, condamnation de militants du Hirak, campagne de boycott, Aziz Akhannouch et le nouveau RNI, cohabitation avec le PJD… Le garde des Sceaux, Mohamed Aujjar, livre ses vérités.
Le limogeage de la secrétaire d’État chargée de l’Eau déclenche les foudres du plus fidèle allié des islamistes. Mais la rupture n’est pas pour autant consommée entre le PJD et le PPS.
La récente suppression du secrétariat d’État chargé de l’Eau a provoqué une crise inédite entre le PJD et le PPS, son principal allié. Ce dernier ne risque pourtant pas de quitter le gouvernement, selon Saïd Saâdi, ex-secrétaire d’État et ancien cadre de la formation, qui s’en explique à Jeune Afrique.