Frédéric Maury est directeur éditorial à Jeune Afrique Media Group. Auparavant rédacteur en chef du pôle économie de Jeune Afrique, il pilote les programmes et contenus éditoriaux du pôle conférences, notamment ceux du Africa CEO Forum.
L’opérateur français Necotrans a décidé de mettre un terme au conflit qui l’opposait à Bolloré autour du terminal à conteneurs du port de Conakry. Dans cette longue affaire, Necotrans aura obtenu l’honneur mais pas l’argent.
Jeune Afrique publie son hors-série annuel sur les grandes entreprises africaines. Et constate, pour la troisième année consécutive, que leurs revenus sont en baisse.
Sur trente-deux hectares, l’Université privée de Marrakech offre une formation multidisciplinaire et d’imposantes infrastructures. Un modèle qu’elle commence à reproduire au sud du Sahara.
Des activités dans une dizaine de pays, dont un nouveau (l’Afrique du Sud), 1 milliard d’euros de revenus supplémentaires : après être monté, à la fin de 2016, de 98 % à 100 % du capital de CFAO, le groupe japonais Toyota Tsusho Corporation (TTC) ne pouvait faire plus beau cadeau à sa filiale, située à Paris, en lui apportant l’intégralité de ses activités sur le continent, principalement dans l’est et dans le sud. Avec dans la corbeille de nouvelles équipes, de nouveaux actifs et même de nouveaux métiers.
Figure de l’agropastoralisme, le Sénégalais défend une stratégie ambitieuse pour l’agriculture du continent. Il est le grand invité de l’économie (le premier samedi de chaque mois sur RFI à 12 h 10 heure de Paris, 11 h 10 TU), ce samedi 4 mars.
La décision des autorités de régulation d’augmenter le capital minimum requis pour exercer en zone Cima pourrait changer le secteur en profondeur. Suscitera-t‑elle une révolution salutaire ou le chaos ?
Malgré des comptes qui ont basculé dans le rouge, la filiale du groupe marocain a maintenu ses investissements et a accéléré son déploiement en direction des particuliers.
En plein divorce, « le plus jeune milliardaire d’Afrique » prétend désormais que sa fortune s’élève seulement à quelques centaines de milliers de livres. La fin d’un mythe ?
Jeune Afrique et Jeune Afrique Business+ ont établi leur palmarès des hommes et des femmes qui ont accompagné les grands dossiers de 2016 en Afrique francophone.
Avec la fermeture de sa filiale en Côte d’Ivoire, la dernière encore active sur le continent, le leader français du commerce électronique met fin à son aventure africaine, marquée par des difficultés logistiques.
Né en Tunisie, où il a passé douze ans, Alain Taïeb a vécu pendant deux ans au Cameroun, puis sept ans en Afrique du Sud. Il est le Grand invité de l’économie RFI-Jeune Afrique.
À la tête du portefeuille de l’Énergie dans le nouveau gouvernement ivoirien, l’ex-patron d’Ecobank fait sa véritable entrée en politique, après deux ans au secrétariat général de la présidence.
La star américaine d’origine sénégalaise était dans la capitale malienne avec son associé malien Samba Bathily et la start-up française Sunna Design pour lancer le site d’assemblage.
Dix innovations ont été retenues, sur un total d’environ 500 start-up qui avaient proposé leur candidature au concours Digital Africa, initié par l’AFD et Bpifrance, la banque publique d’investissement. À Bamako, lors du Forum économique Afrique-France, elles ont été rendues publiques.
En Afrique, contrairement à une idée répandue, les flux d’investissements directs étrangers n’ont jamais reculé durablement : selon les statistiques de la Cnuced, ils ont doublé dans les années 1980 à 2,2 milliards de dollars, avant d’atteindre 6,2 milliards en 2000.
Malgré le ralentissement de ces dernières années, la longue décennie de croissance qu’a connue l’Afrique après le tournant du millénaire lui aura permis de rattraper une partie du retard des vingt années précédentes et peut-être même d’engranger quelques réelles avancées économiques.
Après avoir abandonné toute planification à la suite des plans d’ajustement structurel des années 1990, déléguant le pilotage économique aux institutions de Bretton Woods, les puissances publiques ont repris en main dans les années 2000 leurs stratégies économiques.
À 49 ans, Pascal Agboyibor a atteint des sommets dans l’univers des avocats d’affaires. Ce Togolais figure en effet dans le conseil d’administration d’Orrick, l’un des tout premiers cabinets d’avocats au monde avec 1 100 avocats et 25 bureaux à travers le monde.
En rachetant la filiale locale de Barclays Bank, qu’il veut transformer en banque universelle, le groupe marocain réalise la plus grande acquisition de son histoire. Et pose la première brique de son programme Énergies 2020.
Formation, financement… En Afrique, le groupe ne se contente plus de fournir des équipements, mais propose des solutions complètes aux États pour les accompagner dans leurs défis sanitaires.
Géré par l’institution panafricaine, le Fonds africain de développement (FAD), dédié aux 38 pays d’Afrique à faibles revenus, reconstitue ses ressources pour les trois prochaines années. Mais ses moyens continuent de baisser…
Le président de la Banque africaine de développement (BAD) a achevé sa prestigieuse liste de vice-présidents et peut désormais terminer la grande réorganisation qu’il a entreprise. Un défi loin d’être aisé à relever.
À Tunis, la conférence nationale de relance de l’investissement en Tunisie, Tunisia 2020, démarre ses travaux avec une séance inaugurale solennelle qui tient en haleine tout le pays. Au terme de la première matinée dédiée à la diplomatie économique, environ 13 milliards d’euros de promesses d’investissements – selon les estimations de Jeune Afrique – ont été annoncés par les différents bailleurs de fonds présents.
Dans un entretien à Jeune Afrique, la Banque africaine de développement indique qu’une partie de ses équipes quittera le siège pour
rejoindre ses cinq bureaux régionaux. On sait déjà que trois de ces bureaux seront situés à Johannesburg, Nairobi et Tunis.
L’économiste et professeur revient sur la grande transformation économique opérée en quelques décennies par son pays. Avec un conseil : éviter de s’éparpiller pour mieux prospérer.
La filiale du groupe d’Apollinaire Compaoré, Atel, n’est toujours pas opérationnelle quatre ans après avoir remporté la concession. L’État, lui, s’apprête à lancer une quatrième licence.