Frédéric Maury est directeur éditorial à Jeune Afrique Media Group. Auparavant rédacteur en chef du pôle économie de Jeune Afrique, il pilote les programmes et contenus éditoriaux du pôle conférences, notamment ceux du Africa CEO Forum.
Le cours du métal précieux semble se stabiliser autour des 1500 dollars. Et plusieurs sociétés spécialisées sur l’Afrique de l’Ouest pourraient en bénéficier à moyen terme. C’est peut-être le moment d’investir…
En se tournant vers des gérants pour qui sélectionner les meilleures valeurs est un métier, l’épargnant lambda peut désormais accéder à toutes les Bourses du continent en limitant les risques. Guide pratique.
Le groupe bancaire panafricain Financial Bank poursuit sa politique de conquête commerciale et change de dénomination sociale. Avec un nom qui se veut symbole de rayonnement et d’ouverture.
Empêtré dans une bataille juridique interminable avec l’émirati Etisalat, l’homme d’affaires Apollinaire Compaoré garde pour l’instant le contrôle de Telecel Faso. Un opérateur qui monte
La pétrolier brésilien Petrobras a acquis 50 % de deux blocs de pétrole situés au large du Gabon. Avec l’ambition d’apporter sa technologie en matière de forage en grande profondeur, cette opération marque surtout le retour du géant brésilien à l’international.
La filiale du groupe marocain Banque populaire, lance en France une offre de comptes courants grand public compatible avec les principes de la finance islamique.
Le groupe nigérian a récemment fait la lumière sur ses projets dans le ciment en Afrique, du Sénégal au Gabon, en passant par le Cameroun et le Côte d’Ivoire. Pays dans lesquels il compte investir pas moins de 2,5 milliards de dollars…
Le géant américain du « private equity » veut lever un fonds de plus de 500 millions de dollars destiné à l’Afrique. Mais il reste pour l’instant modeste en matière de recrutements.
À la faveur du retrait de l’État, Banque populaire se réorganise. Mais alors que ses concurrents sont passés à la vitesse africaine, sa priorité reste la rentabilisation de ses filiales chérifiennes.
L’édition 2011 du rapport « Perspectives économiques en Afrique » souligne les effets des révolutions arabes et des prix des matières premières sur l’économie du continent. L’Afrique subsaharienne s’en sort mieux que le Maghreb – sauf la Côte d’Ivoire, secouée par une violente crise postélectorale.
Access Bank et First City Monument Bank rachètent deux établissements en difficulté. Leurs confrères restent pour l’instant attentistes, tout comme les institutions étrangères.
Que ce soit par leur prise de fonctions ou par des opérations financières remarquées, ces trois hommes ont défrayé la chronique depuis le mois de janvier. Parcours.
La présence du géant français en Afrique est un legs des Banques populaires et des Caisses d’épargne, réunies en 2009. Aujourd’hui, l’heure est à la mise en musique d’une véritable partition internationale.
Aux commandes de Bank of Africa depuis le 1er janvier, le groupe marocain BMCE Bank n’entend pas faire de révolution. Sa priorité: la bonne gouvernance et la maîtrise des risques.
Le géant américain du « private equity » veut lever un fonds de plus de 500 millions de dollars destiné à l’Afrique. Mais il reste pour l’instant modeste en matière de recrutements.
La Banque centrale populaire sera désormais majoritairement détenue par les Banques populaires régionales. Permettant au Groupe Banque populaire de disposer désormais d’une véritable organisation mutualiste.
Le groupe pétrolier codécouvreur du champ de Jubilee au Ghana, également présent au Cameroun et au Maroc, fait ses premiers pas à la Bourse de New York.
Introductions en Bourse, fusions-acquisitions, emprunts obligataires… Les banques d’investissement internationales sont incontournables pour les grandes opérations transfrontalières. Mais les acteurs spécialistes de l’Afrique commencent à compter sur ce marché très fermé.
Les groupes du continent semblent se sentir à l’étroit sur les Bourses régionales. Ils préfèrent aller chercher leurs financements à Londres, New York ou Toronto.
En Afrique, les banques recrutent surtout des commerciaux. Mais elles offrent aussi quelques postes très convoités dans la finance spécialisée, rémunérés plusieurs dizaines de milliers d’euros par an.
Malgré le gel des parts détenues par les proches de Ben Ali, les cinq principales entreprises concernées ont bien résisté en Bourse. Preuve qu’elles restent des valeurs intéressantes ?
Affectées par le « printemps arabe », les places du continent accusent de fortes chutes, et les gérants sont partagés entre attentisme et prise de risque. Le point sur les valeurs qui ont la cote.
L’agence de notation Fitch surveille de près les filiales nigérienne et béninoise de Bank of Africa. Qui seraient particulièrement vulnérables aux effets de la crise ivoirienne.
Affecté par l’envolée du yen et du dollar et par les incertitudes politiques au Maghreb et en Côte d’Ivoire, le cours du distributeur spécialisé fait le yoyo. Le groupe panafricain s’affiche néanmoins comme un titre fiable.