Frédéric Maury est directeur éditorial à Jeune Afrique Media Group. Auparavant rédacteur en chef du pôle économie de Jeune Afrique, il pilote les programmes et contenus éditoriaux du pôle conférences, notamment ceux du Africa CEO Forum.
Affectées par le « printemps arabe », les places du continent accusent de fortes chutes, et les gérants sont partagés entre attentisme et prise de risque. Le point sur les valeurs qui ont la cote.
Le recours à des tribunaux internationaux pour trancher des litiges commerciaux tourne souvent en défaveur du continent. Pour ne pas payer des notes trop salées, États et entreprises doivent apprendre à mieux se défendre.
Le recours à des tribunaux internationaux pour trancher des litiges commerciaux tourne souvent en défaveur du continent. Pour ne pas payer des notes trop salées, États et entreprises doivent apprendre à mieux se défendre.
Appartenant au Groupe Edmond de Rothschild, la Compagnie Benjamin de Rothschild affiche un certain intérêt pour l’Afrique. Elle a investi dans plusieurs pays et secteurs en Afrique ces dernières années.
À part quelques multinationales qui restent discrètes sur leur implantation en Afrique, la Suisse ignore encore largement les opportunités économiques que le continent peut offrir. Mais de plus en plus de PME se bougent pour trouver des partenaires afin d’y investir.
Alors que Moody’s vient de lui attribuer la note B1, le Sénégal devrait sans difficulté lever 500 millions de dollars sur les marchés internationaux, sans doute au mois d’avril. Une manne qui pourrait lui permettre de résoudre ses problèmes énergétiques.
Les deux groupes français s’inquiètent pour leurs filiales ivoiriennes et nord-africaines, menacées par l’instabilité politique qui secoue ces régions. Le point sur les risques qu’ils courent réellement.
Présent au Liberia depuis bientôt trois ans, le géant agro-industriel ivoirien Sifca a réalisé à quelques semaines d’intervalle deux opérations majeures dans le caoutchouc et l’huile de palme, deux de ses trois filières principales avec le sucre. Il montre ainsi sa vitalité, à l’heure de présenter un excellent bilan 2010.
La Société camerounaise de banque (SCB) aurait dû passer entre les mains du marocain Attijariwafa fin 2008. Mais les autorités bloquent la conclusion de l’opération.
Trente pays et des usines dans treize d’entre eux. Le poids d’Olam sur le continent ne date pas d’hier. Le groupe y est même né à la fin des années 1980.
Plantations de palmiers en Côte d’Ivoire, minoteries au Nigeria, forêts au Congo… La multinationale asiatique investit toujours plus sur le continent, souvent en association avec des groupes locaux.
Grâce à Colina, Moulay Hafid Elalamy qui s’est fait une solide réputation d’homme d’affaires dans le Maghreb peut étendre les tentacules du groupe Saham sur tout le continent.
Qui est Moulay Hafid Elalamy, patron du groupe Saham, nouvel actionnaire de Colina ? À 51 ans, l’homme s’est forgé une solide réputation dans les milieux d’affaires chérifiens. En attendant de convaincre au sud du Sahara.
Trois investisseurs étrangers ont annoncé en 2010 leur entrée sur le marché, en association avec des groupes locaux. De quoi donner un nouveau souffle au secteur.
Les assureurs ont bien compris l’intérêt de distribuer leurs produits via des partenaires bancaires. Mais ceux-ci restent encore à la traîne. Pourquoi ?
Avec des membres dans 32 pays africains, Globus vise notamment les multinationales en quête de produits standardisés à l’échelle du continent. Explications.
Depuis 2008, Allianz Africa initie l’Afrique de l’Ouest à la microassurance : une tarification adaptée, des modalités d’acceptation minimales et des produits simples.
Couvertures santé ou décès, offres inspirées de la microfinance… Telles sont les pistes envisagées pour toucher une plus large cible. Mais il faudrait aussi que les autorités revoient à la hausse les obligations légales de s’assurer.
Le capital-investisseur basé à Londres gère plus de 1 milliard de dollars dans des entreprises africaines. Dans le cadre d’un consortium, il reprendra bientôt l’activité distribution de Shell.
Numéro un mondial dans l’import-export d’or blanc, le groupe a mis la main sur l’un des leaders africains du commerce d’engrais. Un premier coup sur le continent… qui en annonce d’autres.
Les opérations de rachat d’entreprises africaines ont atteint un total de 50 milliards de dollars. Grâce, notamment, au regain d’activité dans les secteurs des ressources naturelles et des télécommunications.