Installée en France et au Maroc, l’agence de cet architecte d’origine algérienne conçoit des bâtiments un peu partout dans le monde. Mais pas encore en Algérie…
Signe d’un marché de l’art naissant, de nombreuses galeries essaiment à travers le royaume chérifien. Même si peu d’entre elles bénéficient d’une reconnaissance à l’étranger, elles apportent aux artistes la visibilité dont ils ont besoin.
Panne de l’ascenseur social français oblige, un nombre grandissant de jeunes diplômés issus de l’immigration maghrébine vont tenter leur chance au royaume chérifien. Le plus souvent avec succès.
Ce photographe égyptien établi à New York et passionné de cinéma navigue entre journal intime et portraits d’artistes. Sa principale ambition ? L’immortalité.
Après avoir renoncé à un poste confortable au sein d’une grosse banque, cette Tunisienne est devenue une experte reconnue du marché de l’art islamique.
Le 1er mars 2010, journée historique en France ? A l’appel du collectif « La journée sans immigrés », ces derniers et tous les sympathisants de leur cause qui veulent protester contre la discrimination sont invités à boycotter l’économie.
Un jour danseuse du ventre, le lendemain femme voilée, la plasticienne algérienne se joue des clichés et expose des œuvres où la dimension militante n’est pas absente.
Depuis le 11 septembre, cette journaliste égyptienne installée à New York n’écrit plus que des éditoriaux. Qui lui valent prestigieuses récompenses et menaces de mort.
Paris, Rio, Casablanca… le designer expose ses créations inspirées du patrimoine marocain. Intérieurs ou objets du quotidien, il les dépoussière du folklore.
Adjoint au maire de Paris et aveugle de naissance, ce Franco-Algérien bon vivant milite pour une réconciliation mémorielle entre la France et ses immigrés.
L’exposition Marocollection, qui se tient jusqu’au 6 juin aux Galeries Lafayette, à Paris, est un bel exemple d’alliance réussie entre créateurs formés dans de prestigieuses écoles de design et artisans détenteurs d’un savoir-faire ancestral.