Lors du dernier scrutin électoral en RDC, la souveraineté du pays a en partie pu être préservée grâce à la force du principe de subsidiarité que la SADC a défendu contre l’avis de la présidence de la Commission de l’UA et celui de la communauté internationale, selon Francine Muyumba.
Depuis le mois de janvier, la Commission de l’Union africaine (UA) refuse de reconnaître la réélection de Francine Muyumba à la tête de l’Union panafricaine de la jeunesse (UPJ). Un scrutin qui aurait été, selon l’UA, entaché d’irrégularités. Ce que la Congolaise et son comité réfutent.