LE DÉCRYPTAGE DE JA – Les pays de la Cedeao veulent se doter d’un marché carbone standardisé en 2025. Cette initiative inédite sur le continent vise à multiplier les financements pour des projets vertueux pour le climat.
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE – Après avoir vécu en France, aux États-Unis, puis au Canada, le responsable de programme au sein du premier laboratoire africain d’intelligence artificielle de Google, basé au Ghana, s’est donné une mission : permettre aux chercheurs du continent d’innover.
Depuis le 1er janvier 2024, les femmes doivent représenter au moins 30 % des membres des organes de gouvernance des sociétés marocaines cotées en Bourse. Cinq mois après l’entrée en vigueur de cette loi, les résultats sont mitigés.
Très expérimentée, l’entrepreneure sénégalaise a vécu vingt-six ans aux États-Unis avant de retourner au Sénégal, en 2019, pour valoriser les produits africains auprès du marché américain.
Plusieurs pays africains ont vu leur dette augmenter de 30 % ces dix dernières années, selon le FMI. Certains, comme le Kenya, devront faire face à des échéances de paiement en 2024, 2025 et 2026. Quelles solutions sont envisagées pour éviter les défauts ? JA fait le point.
À seulement 33 ans, elle est à la tête de l’unique agrégateur de données climatiques en Afrique basé sur l’intelligence artificielle. Distinguée par Time Magazine en 2023, la dirigeante au CV atypique fait partie des 100 personnes les plus influentes dans l’IA.
À l’occasion de la publication du dernier recensement, la socio-économiste Arame Gueye Sène revient sur les profondes transformations qu’a connues le Sénégal au cours des deux mandats de Macky Sall.
À l’affût de nouveaux talents, les jeunes pousses du continent n’hésitent pas à mobiliser des collaborateurs dans le monde entier. L’enjeu étant de les connecter suffisamment pour les pousser à s’engager.
L’Algérie a été classée 150e destination touristique mondiale en 2022, selon le cabinet espagnol Bloom Consulting. L’État semble pourtant vouloir développer ce secteur, même s’il part de loin.
Qu’ils soutiennent ou non les nouveaux pouvoirs au Sahel, les membres des diasporas nigérienne, malienne et burkinabè sont plus que jamais déterminés à aider leurs proches en transférant de l’argent ou en investissant dans de petits projets.