Directeur au GEC (Groupe d’Expert pour le Congo) à New York, Etats-Unis, Activiste de droits humains et militant au sein du mouvement citoyen Lutte pour le changement (LUCHA)
Jusqu’ici peu réactif face aux atrocités qui endeuillent le Nord-Kivu, le gouvernement congolais a surréagi en imposant l’état de siège, estime le collectif « Le Congo que nous voulons ». Pour eux, d’autres solutions existent pourtant, plus simples et facilement applicables.
« Les morts ne sont pas morts », disait Birago Diop. « Ils sont dans le feu qui s’éteint, dans les herbes qui pleurent, dans le rocher qui gémit. » C’est ce qu’on dira de celui qui mourut il y a trente ans, qui n’eut point droit à des obsèques dignes de son rang et qui n’a ni mausolée ni ville portant son nom.
Cette tribune est une lettre ouverte du mouvement citoyen congolais Lutte pour le changement (Lucha) aux 47 États membres du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, réunis à Genève. Elle est co-signée par Nicole Mutolo, militante de la Lucha.
Cette tribune est une lettre ouverte des mouvements de la jeunesse africaine engagée aux chefs d’État et de gouvernement africains. Elle est co-signée par le mouvement citoyen de la RD Congo Lucha, et par une vingtaine d’organisations prodémocratie africaines (voir ci-dessous).