Les économistes estiment que la forte dépendance du pays à l’égard du dollar américain et l’absence de gestion de la monnaie locale rendent impossible une dédollarisation rapide du pays.
Les dernières nominations au sein du système judiciaire ont bénéficié à des fidèles du parti au pouvoir, le ZANU-PF. Des promotions qui entachent encore davantage un système qui a la réputation, depuis des décennies, d’être partial et dévoué au régime établi.
La tension est montée d’un cran entre le Zimbabwe et la Zambie depuis qu’Emmerson Mnangagwa a brandi la carte russe contre la protection américaine dont jouit, selon lui, Lusaka.
À l’heure où les opérateurs expriment leur scepticisme quant à la stabilité à long terme du ZiG, le gouvernement devrait saisir l’occasion de renforcer le soutien à la monnaie en augmentant la demande et en stimulant la confiance.
Le parti du président zimbabwéen intrigue avec un parti d’opposition pour permettre au chef de l’État de rester en fonction après 2028. Et tant pis pour les ambitions du vice-président Constantino Chiwenga.
Le chef de l’État cherche à se réconcilier avec celle qui fut pourtant son ennemie jurée : la veuve de Robert Mugabe, qu’il a chassée du pouvoir – en même temps que son président d’époux – en novembre 2017.
Ancien partisan de Robert Mugabe, le numéro deux de l’État a désormais ses propres ambitions présidentielles. Qui sont ses principaux soutiens ? JA vous dévoile le nom des membres de son premier cercle, de ses relations militaires à ses associés politiques en passant par ses partenaires commerciaux.