Entre accusations de « nettoyage social » et dénonciation d’une masse salariale exorbitante, le conflit entre la compagnie et ses commandants de bord rend la sortie de crise très incertaine.
La start-up sociale AWIS (Africa Water Innovative Solutions) modernise une technique ancestrale pour potabiliser l’eau : le filtre en céramique. Déjà présente au Maroc, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et en Mauritanie, sa fondatrice Kaoutar Abbahaddou ambitionne de se développer en Afrique anglophone.
La start-up Yellow Relay facilite et sécurise les envois entre la France et l’Afrique, notamment grâce à un réseau de points relais qui permet de pallier à l’absence d’adresses sur le continent.
Dans l’espace Cedeao, plus de 90 % des 130 000 chauffeurs de taxis en activité sont locataires de leur véhicule. La start-up d’Aziz Senni se propose de changer la donne, en commençant par la capitale sénégalaise.
Aina Andremanisa et Fanilo Randrianarizay ont cofondé Sam’Salama, qui proposera à partir de septembre un service de micro-assurance accessible par téléphone à Madagascar.
Depuis mai 2017, l’application créée par le médecin camerounais Éloi Hermann Monkam permet à des Togolais, des Tchadiens, des Marocains et des Camerounais de joindre un médecin ou un pharmacien afin de répondre à leurs questions.
La start-up portée par le groupe Microcred poursuit sa politique de développement en Afrique de l’Ouest. Objectif : atteindre 150 000 foyers au Mali, au Sénégal, à Madagascar et en Côte d’Ivoire.
Si le discounter turc, BIM, n’enregistre toujours pas de bénéfices dans le royaume, il continue coûte que coûte son expansion, poussant déjà ses concurrents à revoir leur stratégie.