Le régulateur chérifien n’a toujours pas délivré sa validation règlementaire à la coentreprise qui vise à devenir l’un des trois principaux acteurs de l’assurance sur chaque marché africain où elle s’intègrera.
Le Kenya étudie une proposition du groupe indien à 1,85 milliard de dollars pour l’exploitation de JKIA. Les analystes mettent en garde contre le risque que la mauvaise réputation du promoteur ne décrédibilise Nairobi.
Présent dans la filiale low cost de Kenya Airways depuis son lancement en 2014, son directeur général se penche sur la stratégie d’expansion de la compagnie aérienne, qui a surmonté la crise du Covid-19 pour s’imposer localement.
De la santé à l’agriculture résiliente en passant par l’éducation, les espoirs de la tech africaine ont aussi des idées pour contribuer au progrès et à l’amélioration des conditions de vie du plus grand nombre. Portraits.
C’est le rêve de nombreux gouvernements et autres institutions de développement depuis des décennies… et désormais celui de jeunes entrepreneurs africains ambitieux : formaliser un tissu économique qui peut représenter jusqu’à 90 % des emplois dans certains pays. Ces nouveaux venus auront-ils davantage de succès ?
Ils digitalisent des pans entiers d’un négoce africain qui cherche à se standardiser. Du tourisme aux bus électriques, en passant par le e-commerce pour des produits chimiques, voici cinq portraits de start-up qui veulent révolutionner les transactions commerciales.
Selon Angela Okinda, directrice générale d’Equity Insurance, l’assurance constitue une source de revenus plus stable pour le groupe à mesure que les dépôts bancaires diminuent.
La branche congolaise du groupe bancaire kényan enregistre des performances encourageantes. Son PDG explique comment vont s’organiser les relations entre les deux pays dans ce contexte.
Les conditions d’emprunt des pays africains devraient évoluer. Pékin sera désormais plus attentif à la capacité de remboursement de chaque demandeur, et devrait ainsi suspendre sa participation dans certains types d’investissements.
La dernière décennie fut une longue descente aux enfers pour la compagnie nationale kényane, qui joue sa survie. Qu’adviendra-t-il de la dernière initiative en date pour la redresser : le découpage de la société en filiales ?
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE. La Banque mondiale a choisi le Kényan pour succéder au Camerounais Albert Zeufack au poste d’économiste en chef pour l’Afrique subsaharienne. Son expertise en matière de lutte contre la pauvreté a été déterminante dans ce choix.
Soutenue par Nairobi, l’entreprise multiplie les succès dans le géothermique et poursuit sa rapide expansion régionale : Éthiopie, Djibouti, Rwanda, RDC… Où s’arrêtera le bolide kényan ?