L’été s’annonce chaud sur les plages marocaines. La très islamiste confrérie Al Adl wal Ihsane, qui s’est tenue à carreau ces derniers temps, sort de sa tanière.
Le chef du groupe parlementaire du PJD, Mustapha Ramid, a annoncé sa démission de la Chambre des représentants… pour y renoncer trois jours plus tard. Bizarre.
Pour venir à bout d’un mal aux racines séculaires, les autorités marocaines ont mis en place, à la fin de 2008, une instance ad hoc. À la veille de la publication de son premier rapport, son président rappelle ce qui a été réalisé, mais aussi, et surtout, ce qui reste à faire.
Interview de l’un des poids lourds de l’USFP, qui s’explique sur sa récente décision de suspendre ses activités au sein de la direction du parti, avec deux autres figures de la formation socialiste marocaine.
Hossein Ali Montazeri est décédé à l’âge de 87 ans le 19 décembre à Qom, en Iran. De 1988 à sa mort, ce disciple de Khomeiny fut le contempteur le plus éclatant – et le plus gênant pour Téhéran – du régime qu’il avait lui-même aidé à mettre en place. Parcours d’un homme dont le courage n’a jamais faibli.
La direction des socialistes, emmenée par Abdelouahed Radi, estime que le parti doit rester coûte que coûte au gouvernement. Une ligne qui ne fait guère l’unanimité parmi les militants.
Condamné par l’AIEA pour son programme nucléaire, Téhéran riposte en annonçant la construction de dix nouveaux sites de production d’uranium. Mais ce raidissement ne vise-t-il pas, surtout, à forcer Obama à remettre à plat tous les différends bilatéraux ?
Le « Guide » libyen n’a – comme de bien entendu – pas pu s’empêcher de donner son avis sur le résultat du vote suisse contre la construction de minarets. Petite revue du discours de Kadhafi.
Intellectuels, linguistes, étudiants ou patrons… Ils ont repris le flambeau de la défense de la culture amazighe. Mais différemment. En s’appuyant sur l’histoire du royaume, ils sortent du folklore et des antagonismes supposés.
Une guerre ouverte entre deux partis issus de la même matrice politique, une majorité gouvernementale qui vote pour l’opposition. La confusion est totale. Décryptage d’une folle sarabande de prime abord incompréhensible.
Malgré les protestations américaines, la colonisation israélienne se poursuit en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Mais Washington n’a peut-être pas dit son dernier mot.
Pour la commissaire générale de l’UNRWA, rien n’a changé, ou presque, à Gaza depuis l’opération « Plomb durci ». La population souffre autant du blocus israélien. Quant aux 4,6 millions de réfugiés palestiniens, ils vivent toujours « entre l’espoir et le désespoir ».