L’analyse de la place et du poids de l’industrie en Tunisie révèle une décélération de sa croissance – elle est inférieure à la moyenne de celles des autres secteurs – et, donc, de sa contribution au PIB.
« Aurons-nous un jour un autre avenir que notre passé ? » Cette interrogation du regretté écrivain marocain Driss Chraïbi n’a jamais été aussi actuelle, en Tunisie comme dans tous les pays touchés peu ou prou par ce qu’il est communément admis d’appeler « le printemps arabe ».