Le Conseil national de la presse exige des éditeurs qu’ils appliquent la convention collective et augmentent le salaire des journalistes. OK, disent les patrons, mais pas avant 2015.
Quatre dirigeants du FPI, dont son président Pascal Affi N’Guessan, ont été convoqués jeudi par la gendarmerie ivoirienne au Plateau, à Abidjan. L’appel du parti d’opposition au boycott du recensement général et les troubles qui en ont découlé semblent être à l’origine de cette audition.
Un garde du domicile de Pascal Affi N’Guessan a violemment molesté, samedi à Bongouanou, un journaliste qui cherchait à rejoindre ses confrères invités à déjeuner par… le président du FPI lui-même.
Le porte-parole du gouvernement ivoirien, le ministre des Postes et des Nouvelles technologies de l’information et de la communication, Bruno Nabagné Koné, a annoncé à l’issue du conseil des ministres, mercredi 16 avril, que « les services d’urgence du CHU de Cocody (Abidjan) » fermeront « à partir du 1er mai pour nécessité de travaux de réfection ».
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba était en visite à Abidjan, vendredi 11 avril. L’occasion de s’enquérir de la santé de son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, et de s’entretenir avec lui de sujets plus politiques.
Zadi Djédjé, le président du CJPPR (pro-Blé Goudé) s’oppose fermement à la ligne dure tracée par le président du FPI, Pascal Affi N’guessan. Et milite pour la réconciliation nationale, sans condition préalable.
Les prix de la plupart des journaux ivoiriens sont passés vendredi dernier de 300 à 400 Francs CFA. Une augmentation qui vise à renflouer une presse en crise, en attendant la reprise économique et les aides promises par le gouvernement. État des lieux.
Après la Guinée, le Liberia, la Sierra Leone et plus récemment le Mali, la Côte d’Ivoire redoute de voir apparaître sur son territoire des cas de fièvre hémorragique Ebola. Les autorités sont à pied d’oeuvre.
Le décès d’une jeune mannequin, Awa Fadiga, qui serait restée sans soins pendant de nombreuses heures dans un hôpital d’Abidjan, n’en finit pas de susciter la polémique sur les services de santé ivoiriens. Retour sur les faits.