Si la Cedeao a bien géré la crise malienne, difficile d’en dire autant de l’Union africaine après la mort du président Déby au Tchad. Elle n’a pas appliqué ses propres règles, pourtant très claires.
La pandémie de coronavirus a confirmé – sinon révélé – les graves difficultés du continent à protéger ses populations du chômage et des maladies. Saura-t-il revoir ses structures économiques et améliorer ses systèmes de santé ?
La disposition de limitation du nombre des mandats présidentiels était une des mesures phares des nouvelles constitutions de la majorité des pays africains au début des années 1990.
L’attaque barbare contre le Splendid Hotel à Ouagadougou, le 15 janvier, et celle contre le Radisson Blu Hotel de Bamako le 20 novembre. La boucherie ignoble du 13 novembre à Paris, celles – nombreuses – au nord-est du Nigeria, au Tchad, en Somalie, au Kenya…