Jamais les candidats à la présidentielle n’avaient dépensé des sommes aussi déraisonnables. Le record de 2008 – 5,3 milliards de dollars – va être pulvérisé. Tout ça à cause d’une funeste décision de la Cour suprême…
Tous les candidats aux primaires républicaines affichent une foi chrétienne à toute épreuve. Mais aucun ne paraît en mesure de rassembler un parti profondément divisé. À quand un sauveur ?
L’apparition d’un chômage de masse assombrit les perspectives de réélection du président sortant. Même si Barack Obama l’emporte encore nettement dans les sondages sur tous ses adversaires républicains.
Il y a trois mois, il était presque inconnu. Aujourd’hui, Herman Cain, homme d’affaires ultraconservateur, brigue l’investiture républicaine pour la présidentielle américaine de 2012 et talonne les favoris. Feu de paille ?
L’élection historique de 2008 aux États-Unis semblait de bon augure pour les Africains-Américains. Or, non seulement leur sort ne s’est pas amélioré, mais ils sont les premières victimes de la crise.
Ultraconservateur, populiste et chrétien fanatique, il brigue l’investiture républicaine pour la présidentielle américaine de 2012. George W. Bush ? Non, Rick Perry.
Une mosquée finira-t-elle par voir le jour près de Ground Zero, à New York ? Dix ans après les attentats du 11 Septembre aux États-Unis, le projet, pourtant revu à la baisse, ne fait toujours pas l’unanimité.
Hier, les métis passaient pour des traîtres. Ils sont aujourd’hui les hérauts d’une Amérique postraciale. Et leur nombre croît de manière spectaculaire. Surtout chez les jeunes.
La soudaine médiatisation de Nafissatou Diallo n’est pas sans ambiguïté. Favorise-t-elle la tenue d’un procès pénal contre Dominique Strauss-Kahn (DSK) ? Pas forcément. Elle est en revanche fort utile dans la perspective du procès civil.
Parmi les candidats à l’investiture du Parti républicain pour la présidentielle américaine de 2012, Mitt Romney fait figure de favori. Mais c’est compter sans le travail de sape lancé par ses rivaux.
Mission accomplie. C’est ce qu’a déclaré en substance le président américain le 22 juin dans une brève allocution pour justifier le retour de 33 000 soldats d’ici à 2012.
Ils avaient massivement voté pour lui en 2008, mais n’en feront sans doute pas autant l’an prochain. À cause du caractère très répressif de sa politique d’immigration.
Il se nomme Kenneth P. Thompson. C’est lui qui, désormais, dirige la défense de la victime présumée de l’ancien patron du FMI. Ce dernier a du souci à se faire.
Le milliardaire déjanté va-t-il vraiment briguer, en mai, l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2012 ? Ou n’est-ce qu’un gigantesque coup de pub ? Quoi qu’il en soit, il multiplie contre Barack Obama les attaques au-dessous de la ceinture.
Au Congrès américain et dans certains États du Midwest qu’ils contrôlent, les républicains extrémistes taillent à la serpe dans les dépenses publiques. À brève échéance, ils risquent de paralyser l’administration démocrate. Mais ils ont déjà réussi à sortir le mouvement syndical de sa torpeur !
Si cet économiste béninois enseigne aujourd’hui aux États-Unis, il entend bien créer dans son pays, à Akassato, une African School of Economics incontournable.
Colistière de John McCain en 2008, Sarah Palin est aujourd’hui l’icône des ultraconservateurs. Et le cauchemar des dirigeants républicains, tant ses chances de victoire face à Obama en 2012 paraissent faibles.
Ex-capitale de l’automobile, désormais sinistrée, Detroit et sa région comptent une très importante communauté originaire du Moyen-Orient, qui, paradoxalement, prospère.
À New York, les immigrés haïtiens sont presque tous partisans de l’ancien président Aristide et de la « Fanmi Lavalas », son parti. Pour eux, les candidats arrivés en tête de la présidentielle du 28 novembre sont des usurpateurs.
En raison de la crise économique et de la persistance d’un chômage de masse, les démocrates conduits par Barack Obama ont peu de chances de remporter les élections de la mi-mandat, le 2 novembre. La Chambre des représentants paraissant perdue, il leur reste, au finish, à sauver le Sénat.
Contre vents et marées, Lula a choisi pour lui succéder une quasi-inconnue d’origine bulgare, peu charismatique de surcroît. Mais Dilma Roussef est une femme à poigne. Et Lula est en passe de gagner son pari : avec 46,7 % des voix au premier tour, sa dauphine est en bonne voie pour remporter le second tour du 31 octobre.