Le 15 septembre dernier, au Maroc, plus de 3 000 personnes tentaient de franchir la barrière de Ceuta pour rallier l’Europe. Une opération préparée sur les réseaux sociaux, où s’est formée en quelques années une véritable communauté, avec ses influenceurs, autour d’une obsession : le harrag, l’émigration irrégulière.
Le lancement sans discussion de la taxe carbone aux frontières européennes rappelle la position de sujétion des États africains aux règles commerciales décidées par les puissances mondiales. Le continent doit reprendre le dessus dans ses relations commerciales internationales.
Pour le chercheur et spécialiste français du Moyen-Orient David Rigoulet-Roze, difficile, même si les preuves manquent, de ne pas voir l’influence de l’Iran derrière l’opération du Hamas en Israël.
Doté de ressources considérables en énergies renouvelables, le royaume parie sur ce « carburant du futur » à travers plusieurs projets à visée industrielle, mais s’interroge sur l’opportunité de tout miser sur l’export.