Le plus important barrage hydroélectrique de Côte d’Ivoire, avec une capacité totale de 275 MW, va être officiellement inauguré ce jeudi 2 novembre. Il y a six mois, Jeune Afrique vous plongeait au cœur de ce chantier monumental.
Créé en 2001 par le cosmologiste sud-africain Neil Turok, l’Institut africain pour les sciences mathématiques (AIMS) a déjà formé plus de 1 200 étudiants originaires de 42 pays, dont près d’un tiers de femmes.
Les écoles privées, comparables aux meilleures formations internationales se multiplient sur le continent. Pour ces établissements, l’objectif est de permettre aux élèves d’intégrer les meilleures universités du monde, tout en restant accessibles.
Chaque année, ce mathématicien aux allures de dandy donne des cours et des conférences dans plusieurs pays du continent et participe à des conseils scientifiques. Avec beaucoup d’optimisme.
Après la Côte d’Ivoire en février, c’est au tour du Niger, du Burundi, du Congo et du Mali… Semaine après semaine, la liste des pays frappés depuis le début de l’année par des grèves d’étudiants ou de professeurs s’allonge.
Fragilisé par une série de déconvenues, dont une amende record infligée par le Nigeria, le géant africain tente de se relancer. Avec à sa tête un nouveau dirigeant, Rob Shuter, recruté en Europe.
Elles ne sont pas encore très nombreuses, dans un monde économique dominé par les hommes. Mais certaines femmes se sont imposées à la tête de grandes entreprises ou en tant que numéro deux ou trois. Jeune Afrique vous présente le « top 50 » des dirigeantes les plus puissantes d’Afrique francophone.
Faute d’approvisionnement, l’usine du groupe, premier acheteur du pays, est arrêtée. Pourtant, les autorités affirment que la hausse de la production met l’autosuffisance à portée de main.
Dans un monde économique encore très masculin, elles sont de plus en plus nombreuses à accéder à des postes stratégiques au sein de grands groupes. Jeune Afrique vous présente les dirigeantes les plus puissantes d’Afrique francophone, dans un dossier spécial à découvrir dans son édition 2930, en kiosques du 5 au 11 mars.
La start-up vient d’inaugurer sa première exploitation maraîchère à proximité de Pointe-Noire. Un projet mené au profit des maraîchers de Djeno, village du littoral à proximité du terminal pétrolier de Total auquel le groupe pétrolier français a apporté son soutien et qui pourrait très vite être dupliqué.
Fin 2016, Galileo, spécialiste de l’enseignement supérieur, présent en Europe, en Asie et en Amérique, a pris le contrôle de l’Institut supérieur de management (ISM) de Dakar. Une marque sous laquelle le groupe, basé à Paris, entend se déployer sur le continent. Le patron du groupe Galileo Global Education, Marc-François Mignot-Mahon, dévoile à Jeune Afrique les ressorts de sa stratégie.
Daniel Kablan Duncan vice-président, Amadou Gon Coulibaly Premier ministre. Pour diriger le pays, Ouattara a choisi deux hommes qui n’ont pas grand-chose en commun, si ce n’est leur fidélité à son égard. Portraits croisés.
L’opérateur historique sénégalais enregistre des records de croissance depuis vingt ans. Mais cela ne suffit pas à éteindre les rancœurs, des syndicats jusqu’au premier cercle du pouvoir sénégalais, à l’égard de son actionnaire de référence, Orange.
Désireux d’assurer la pérennité de l’Institut supérieur de management (ISM), le groupe qu’il a créé à Dakar il y a un quart de siècle, le sénégalais Amadou Diaw a cédé la majorité du capital à l’un des leaders mondiaux de l’enseignement privé.
Le patron du groupe audiovisuel projette que d’ici à 2020 la moitié des foyers électrifiés africains se connecteront à ses bouquets de chaînes, et un quart à la fibre optique.
À quelques heures de l’ouverture de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) organisée au Gabon à partir du 14 janvier, Grégoire Ndjaka, directeur général de l’Union africaine de radiodiffusion (UAR) est encore sous pression. Dans l’urgence, il aide les dernières télévisions publiques qui n’ont pas encore acquis les droits de diffusion de la compétition à signer un contrat avec Sportfive, filiale du groupe Lagardère.
La filiale de l’opérateur zimbabwéen Econet est en passe de racheter le sud-africain Neotel pour 460 millions d’euros. Cette transaction lui permettra de conforter son leadership sur le continent en matière de gestion de la fibre optique.
La complémentarité entre les deux groupes est évidente. Sur le plan géographique, par exemple, l’équipementier finlandais récupère une firme bien introduite sur les marchés francophones.