Un sévère tour de vis attend les investisseurs et les importateurs étrangers en Algérie. Il doit contribuer à diversifier l’économie et à éteindre la flambée des importations. Mais, décidé dans la confusion, le dispositif alimente la polémique.
Réunis à Londres à l’initiative de la banque d’affaires MediCapital, sept groupes qui totalisent 40 % de la capitalisation boursière de Tunis ont tenté de convaincre vingt-cinq fonds de revenir animer la Place.
Pour connaître l’identité des investisseurs (commerçants, surtout) chinois présents au Cap-Vert, le ministère des Finances leur avait adressé un questionnaire.