Avant la fin de l’année, l’ONA et la SNI fusionneront pour constituer un holding d’investissement non coté. Objectifs : redynamiser la Bourse de Casablanca et investir dans les marchés d’avenir.
Si l’opacité demeure au Maroc et en Algérie, la Tunisie brise l’omerta : ses chefs d’entreprises doivent désormais publier leurs salaires. Enquête sur les rémunérations des principaux dirigeants des trois pays.
La ministre française de l’Economie Christine Lagarde insiste sur la mise en oeuvre des réformes de la BEAC demandées par le FMI dans une lettre au ministre équato-guinéen de l’Intégration régionale.
Riche en or noir, le sous-sol africain attise les conflits entre États sur des gisements transfrontaliers. L’arbitrage est périlleux, car les enjeux économiques sont souvent colossaux.
Le 25 mars 2010, les conseils d’administration de la SNI et de l’ONA ont décidé de fusionner. À la manœuvre : le PDG de l’ONA, Mouatassim Belghazi qui s’est livré à Jeuneafrique.com moins de quarante-huit heures après la fusion. Interview.
Directeur exécutif du Centre africain de recherche sur les politiques énergétiques et minières, basé en France. Représentant Afrique de l’Association internationale des négociateurs pétroliers.
Pour la première fois dans son rapport annuel sur les indicateurs de développement, l’institution jette un regard sans concession sur un fléau qui gangrène l’économie subsaharienne.
Longtemps pénalisées par l’ouverture des marchés et la part belle faite aux négociants, les compagnies privées du continent sont désormais l’atout majeur des États pour relancer la production locale.
Le géant minier Vale s’engage à débloquer près de 1 milliard d’euros au Mozambique. C’est le plus grand investissement jamais annoncé par une entreprise auriverde. Un signe fort de l’influence grandissante du pays sur le continent.
Les promoteurs du projet de centrales électriques solaires dans le Sahara ont proposé à un ancien ministre allemand de l’Environnement de les représenter. Au risque d’attiser la polémique sur la mainmise germanique.
La suppression, en janvier 2009, des droits de douane sur les produits issus des pays de la Ligue arabe est une potion amère pour Alger et ses entreprises, peu préparées à la concurrence. La contre-offensive est lancée. Première victime : Le Caire.