Selon l’avocate d’affaires Johanna Monthé, les pays francophones du continent peuvent profiter de leur plus grande stabilité face aux mouvements spéculatifs dans la tech africaine.
Une nouvelle réglementation pourrait révolutionner l’industrie du capital-investissement pour les huit pays de l’Uemoa, estime Johanna Monthé, associée du cabinet d’avocats Epena Law.