Avant Ali Bongo Ondimba, jamais un chef de l’État n’avait, au Gabon, autant été insulté ou caricaturé dans les journaux et sur les réseaux sociaux. Malgré tous les griefs de ses détracteurs, il reste et demeure le président de la République du Gabon, et a droit au respect, insiste l’écrivain Janis Otsiemi.
L’impasse postélectorale dans laquelle se retrouve le Gabon me révolte. Et si le principal défaut d’Ali était de porter le nom de son père ? Si son principal défaut était d’être tout simplement un Bongo ?