Présent au sommet États-Unis–Afrique du 13 au 15 décembre, le président de la transition tchadienne, dont la venue à Washington a suscité certaines crispations côté américain, a tenté de nouer des contacts au sein du Congrès.
Si le programme officiel du sommet États-Unis – Afrique s’est surtout résumé à une série de tables rondes et de signatures d’accords, il a aussi été l’occasion d’un intense activisme diplomatique.
Si plusieurs milliards de dollars d’investissements ont été annoncés à l’occasion de la deuxième journée du sommet organisé par le président américain, d’autres sujets, comme celui d’une réforme de l’Agoa, ont également été mis sur la table.
Influence russe sur le continent, rivalité avec la Chine, crise RDC-Rwanda… Alors que le sommet États-Unis – Afrique s’est ouvert le 13 décembre, Linda Thomas-Greenfield, l’ambassadrice américaine auprès de l’ONU, revient sur plusieurs dossiers chauds.
Si le président Joe Biden n’a, pour l’instant, promis aucun tête-à-tête, la seconde édition de cette rencontre, lancée en 2014 par Barack Obama, promet déjà de faire l’objet d’intenses campagnes de lobbying.
Du 13 au 15 décembre, les dirigeants africains vont converger vers Washington pour le sommet Afrique-États-Unis. Quinze mois après sa nomination au poste de secrétaire d’État adjointe, Mary Catherine « Molly » Phee sera au centre des négociations.
L’héritière Dos Santos riposte au mandat d’arrêt international émis à son encontre en s’allouant les services d’un cabinet de conseil américain pour plaider sa cause à la Maison Blanche.
La sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland a achevé une mission au Sahel. Elle a notamment rencontré Assimi Goïta et Ibrahim Traoré, et tenté d’accroître l’influence américaine dans leurs pays.
C’est la première fois que les responsables de la politique financière mondiale se réunissent à Washington depuis la pandémie, et ce jusqu’au 16 octobre. L’un des thèmes centraux est la maîtrise de la flambée des prix des denrées alimentaires.
Après deux décennies de sanctions, lesquelles n’ont pas toutes été levées, Washington tente une nouvelle approche et a invité le ministre zimbabwéen des Affaires étrangères à participer au prochain sommet entre la première puissance mondiale et le continent.
Jamais les résidents américains nés en Afrique n’ont été aussi nombreux. Financièrement à l’aise et plus éduqués que la moyenne, ils sont particulièrement convoités par Washington, qui voit en eux un relai idéal.
Pour préparer sa revanche électorale contre Félix Tshisekedi, l’opposant se rend aux États-Unis cette semaine. Il y rencontrera des officiels américains, des membres de la diaspora congolaise et des chefs religieux. Coulisses.
La Millenium Challenge Corporation annonce la possible suspension d’une aide d’un demi-milliard de dollars à Tunis sur cinq ans en raison des récentes décisions du président Kaïs Saïed.
Le 6 août, le lieutenant-général Langley est devenu le premier général quatre étoiles noir en 246 ans d’histoire des Marines. Après 37 ans passés dans ce corps d’élite, il vient de prendre la tête du commandement militaire américain pour l’Afrique.
Après les années Trump, marquées par un désintérêt pour l’Afrique, Joe Biden veut y regagner en influence, comme l’illustrent la récente visite d’Antony Blinken et le sommet qui aura lieu dans quelques mois. Décryptage de la stratégie de la Maison Blanche.
Selon les informations de Jeune Afrique, l’envoyé de Joe Biden doit se rendre en RDC et au Rwanda. Voici ce qu’il faut savoir sur ce déplacement hautement stratégique.
Le chef de l’État souhaite promouvoir son image à l’international et travailler au rayonnement de la diplomatie sénégalaise. Mais ce cabinet de conseils américain n’est pas seul sur le coup…
Les sept grandes puissances mondiales ont annoncé la création d’un fonds doté de 600 milliards de dollars. Objectif : financer des projets d’infrastructures dans les pays en développement, notamment en Afrique.
Outre-Atlantique, les cabinets de lobbying recrutés par Kinshasa tentent d’attirer l’attention des élus américains sur la situation dans l’Est et de les rallier à leur cause.
Maputo, que des liens étroits lient à Moscou et qui s’est jusqu’à présent abstenu de condamner la guerre en Ukraine, bénéficiera du statut de membre non permanent à compter de janvier 2023.
Les services spécialisés du département d’État américain ont publié leur tout premier rapport consacré aux opérations de désinformation menées par la Russie sur le continent. Avec le Mali, où opère Wagner, comme cible privilégiée.
Le 11 mai, le Maroc organisait à Marrakech la 9e réunion de la Coalition internationale contre Daech. L’occasion pour le royaume de faire avancer son agenda sur le Sahara occidental et pour les États-Unis, coprésident du sommet, d’étendre leur influence sur le continent.
Une compétition en coulisses entre les deux principales banques multilatérales du continent a éclaté au grand jour lors des réunions de printemps de la Banque mondiale et du FMI à Washington.
Depuis que le chef de l’État l’a trahi, le vice-président, William Ruto, ne retient plus ses coups contre son adversaire dans la course à la magistrature suprême, Raila Odinga. Retour sur un duel sans merci.
Victoria Nuland est la sous-secrétaire d’État américaine en charge des Affaires politiques. La guerre en Ukraine n’est pas une nouvelle Guerre froide, insiste-t-elle, mais un combat de l’autoritarisme contre la démocratie qui n’est pas sans conséquence pour le continent.
Le Premier ministre ivoirien s’est rendu à Washington pour plaider en faveur d’une aide américaine accrue dans ces deux domaines, alors qu’Abidjan avance dans son programme de croissance inclusive, tirée par le secteur privé.
Le gouvernement angolais dépense environ 4 millions de dollars par an auprès d’un cabinet de lobbying chargé d’obtenir le soutien des États-Unis à ses réformes financières.