Jusqu’au 28 septembre, à Marseille, le MuCEM donne à voir avec « Traces… Fragments d’une Tunisie contemporaine » les œuvres de cinq artistes tunisiens
qui lient présent, passé et rêves d’avenir dans le tourbillon
et les secousses de l’après-révolution.
Dans sa nouvelle création, à découvrir en sélection officielle (le « in »), la chorégraphe dakaroise questionne la place des femmes dans son pays en s’inspirant des tanebeer, ces bals populaires où la danse bouscule l’ordre social et sexuel.