À quelques heures de la fin de la campagne présidentielle mauritanienne, le président sortant Mohamed Ould Abdelaziz a déclaré que rien, dans la Constitution, ne l’interdisait de se représenter à de futures élections. Cette annonce fait suite aux propos tenus par le porte-parole du « dauphin » Mohamed Ould Ghazouani, qui soutenait le contraire.
Candidat-surprise à la présidentielle en Mauritanie, Sidi Mohamed Ould Boubacar affiche sa confiance à l’avant-veille du scrutin du 22 juin. Du soutien des islamistes au passif humanitaire, entretien avec l’un des cinq candidats qui souhaite incarner le « changement ».
La campagne pour l’élection présidentielle de samedi est entrée dans sa dernière ligne droite en Mauritanie. Et l’opposant Mohamed Ould Maouloud, soutenu par Ahmed Ould Daddah, une autre grande figure de l’opposition, entend bien barrer la route à Mohamed Ould Ghazouani, dauphin désigné par Mohamed Ould Abdelaziz.
Alors que le dauphin du président Aziz, Mohamed Ould Ghazouani, fait figure de favori pour le scrutin présidentiel de samedi, les cinq candidats de l’opposition battent aussi campagne, Sidi Mohamed Ould Boubacar et Biram Dah Abeid en tête, pour le pousser à un second tour.
Ce héraut de la lutte contre l’esclavage en Mauritanie a annoncé son ralliement à Mohamed Ould Ghazouani, le candidat du pouvoir, pour la présidentielle du 22 juin.
Messaoud Ould Boulkheir, leader historique de la lutte antiesclavagiste et ancien président de l’Assemblée nationale, a apporté son soutien à Mohamed Ould Ghazouani, le candidat du pouvoir à la présidentielle de juin prochain.
L’ex-Premier ministre mauritanien a annoncé sa candidature à la présidentielle de juin. Face à Mohamed Ould Ghazouani, dauphin du président sortant, il estime avoir le profil idoine pour incarner l’alternance.
Qui face à Mohamed Ould Ghazouani, le dauphin déclaré de Mohamed Ould Abdelaziz ? Tandis que Biram Dah Abeid s’est déjà déclaré, deux opposants – Sidi Mohamed Ould Boubacar et Mohamed Ould Maouloud – croisent le fer au sein de l’Alliance électorale de l’opposition démocratique pour obtenir l’investiture.
À moins de cinq mois de la présidentielle, Mohamed Ould Abdelaziz a choisi l’actuel ministre de la Défense pour lui succéder. En cas de victoire, ce dernier aura-t-il les mains libres pour mener la politique de son choix ? Portrait d’un général à qui l’on ne connaît pas d’ennemi.
Gestes diplomatiques réciproques, échanges de visites au plus haut niveau, forum d’affaires… Amorcé il y a un an, le réchauffement des relations entre les deux États est désormais une réalité.
Tout au long de sa détention, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo est resté confiant quant à l’issue de son incarcération, selon ses proches, préparant même son procès en prison.
Du ministre de la Défense Mohamed Ould Ghazouani à celui de l’Économie et des finances, Moktar Ould Diay, en passant par le Ministre d’État Yahya Ould Hademine et le président de l’Assemblée Cheikh Ould Baya, revue d’effectif des potentiels successeurs du président Mohamed Ould Abdelaziz.
S’il est presque sûr que le chef de l’État ne briguera pas sa propre succession en 2019, nul doute qu’il choisira avec soin son successeur. À l’instar d’un certain Vladimir Poutine.
Après plusieurs semaines d’attente, le gouvernement mauritanien a été remanié mardi 30 octobre. Le président Mohamed Ould Abdelaziz en a profité pour placer ses fidèles aux postes clés.
Journaliste, conseiller à la présidence, il a écrit tous ses livres dans la capitale mauritanienne. Voici quelques-uns des lieux où il aime à se rendre régulièrement.
En marge du 31e sommet de l’Union africaine, le chef de l’État français a entièrement axé sa visite officielle à Nouakchott, du 2 au 3 juillet, sur les questions sécuritaires.
Sahara occidental, relations avec le Maroc, G5 Sahel, visite d’Emmanuel Macron… Le nouveau ministre des Affaires étrangères mauritanien, Ismail Ould Cheikh Ahmed, s’est entretenu avec Jeune Afrique en marge du 31e sommet de l’UA.
Réélu en mai 2016 à la présidence de l’Union des Comores, après avoir effectué un premier mandat de 2002 à 2006, Azali Assoumani a accordé une interview à Jeune Afrique en marge du 31e sommet des chefs d’État de l’Union africaine (UA), qui se clôt ce 2 juillet dans la soirée à Nouakchott.
Le 31e sommet de l’Union africaine s’est ouvert à 9 heures, ce dimanche, en présence de 26 chefs d’Etat. Au menu des discussions, la réforme de l’organisation continentale, la Zlec et le Sahara occidental…
Avant l’arrivée des chefs d’État le 1er juillet, le comité exécutif de l’Union africaine s’est ouvert ce 28 juin. Voici les principaux dossiers à surveiller de près lors du 31e sommet de l’organisation continentale.
Succession, relations avec les voisins – maghrébins et sénégalais –, affaire Bouamatou, Sahara occidental, UMA, G5 Sahel… Le chef de l’État passe en revue tous les grands dossiers de l’heure. Sans mâcher ses mots.
Secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) depuis trois ans, la Canadienne d’origine haïtienne briguera au mois d’octobre un nouveau mandat. En attendant, elle s’est confiée à Jeune Afrique.
La secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie, Michaëlle Jean, sollicitera un deuxième mandat en octobre 2018,au sein d’une institution où elle a encore du mal à s’affirmer.